Le journaliste Luckner « Louko » Désir, candidat à la présidence sous la bannière « Mobilisation Pour Haïti » (MPH), qui avait recueilli 591 voix (0.04% de l’électorat) lors du premier tour de l’élection Présidentielle du 25 octobre 2015, a décidé de se retirer de la course électorale du 20 novembre « Je passe à autre chose. Je retourne à mes activités professionnelles, car définitivement les élections pour cette année, je n'y crois plus » ajoutant « merci a mes sympathisants. Ki sam pral fe, ki sa lap ye, map fe nou konnen semaine prochaine. Kenbe la. »
Rappelons qu’en juin 2016, « Louko » avait déclaré « C'est moi qui ai gagné les élections présidentielles ! » convaincu d'être le seul candidat à ne pas avoir fraudé et que le CEP avait selon-lui, préféré annuler les élections que de le déclarer vainqueur !
Des membres de la Police Aux Frontières Françaises (PAF), qui soupçonnaient un trafic de migrants dans la baie de Marigot (partie française de l'île de Saint-Martin), ont découvert au cours d’une opération de contrôle, avec le soutien des douanes et de la gendarmerie, 52 migrants illégaux, pour la plupart de nationalité haïtienne (28 hommes, 17 femmes et 7 enfants), qui étaient entassé à bord d’un catamaran d’une capacité de 12 personnes, qui mouillait dans la Baie.
Les trois membres d’équipage, deux hollandais, un homme et une femme ainsi qu’un Saint-Lucien tous les 3 résidents sur l’île, ont été arrêtés et avoué avoir participé à une activité illégale de trafic d’être humain pour de l’argent. Accusé d’aide au séjour en bande organisée et mise en danger d'autrui, ils doivent comparaître ce vendredi 4 novembre en comparution immédiate à Basse-Terre pour y être jugés.
Selon les témoignages des clandestins, recueilli par le Vice-procureur, l’équipage devait les conduire à Saint Thomas dans les îles vierges américaines et certains devaient rester à Saint-Martin. Le prix du voyage variait entre 1,000 et 7,000 dollars américains par personne... Les migrants illégaux ont été invités à quitter le territoire français, mais aucune procédure d’expulsion n’a été lancée a précisé le Vice-procureur.
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Les élèves de différentes écoles publiques des Cayes dont le lycée Philippe Guerrier, lycée Claudy Museau, l’école nationale Dumarsais Estimé et Charles Lassègue des Cayes ont organisé une marche le lundi 7 novembre 2016 pour demander aux sinistrés de libérer les abris provisoires. Question, ont-ils dit, de reprendre les activités scolaires dans ces établissements en congé depuis après le passage de l’ouragan Matthew.
C’est un impératif que les activités scolaires reprennent dans les établissements occupés par les sinistrés de l’ouragan Matthewcomme l’ont fait croire les responsables du ministère de l’Éducation nationale et de la Formation professionnelle, les sinistrés disent rester fermes sur leur décision de ne pas vider les lieux sans un accompagnement de l’État. Alors que les élèves, de leur côté, s’impatientent de retourner à l’école. Ils sont plus d’une centaine d’élèves regroupant plusieurs écoles publiques et lycées à avoir manifesté le lundi 7 novembre 2016 aux Cayes pour demander aux sinistrés de laisser les abris provisoires qu’ils occupent depuis plus d’un mois. Pancartes à la main, les élèves protestataires ont parcouru plusieurs rues de la ville des Cayes pour exprimer leur préoccupation quant à la reprise des cours dans leurs écoles respectives.