Après le décès suspect de Junior Métellus, survenu dans la nuit du 25 au 26 septembre 2020, la polémique enfle entre les parents et la petite amie de l’ex animateur de radio Métropole et acteur de cinéma. Natacha Jean-Charles, c’est le nom de la petite amis qui s’expliquait sur les ondes de Caraïbes FM, le 30 septembre 2020, a déclaré que l’acteur ne se sentait pas bien au cours de la semaine dernière et elle lui avait conseillé d’aller voir un médecin. Ce que Junior Métellus avait fait. Le docteur lui aurait prescrit des médicaments et recommandé des examens de laboratoire.C’est à ce moment que serait intrvenue la mere de Natacha qui a emmené un “ guerisseur” voir le malade. Et qui lui aurit administer un remède local. Le lendemain, vendradi 25 septembre, on aurait retrouvé l’artiste mort. La famille de Junior Métells a déposé une plainte.
Rester prudent Même si la gourde tend à prendre de la valeur de plus en plus, les spécialistes s’accordent à dire que le frein sera bientôt pressé. Riphard Sérent ne croit pas que le taux de change continuera de baisser en deçà de 60 gourdes. « Nous serons bientôt en octobre, et c’est à cette époque que [les grands magasins] passent des commandes pour les fêtes de Noël, dit-il. Il y a aussi les familles dont les enfants étudient à l’étranger qui devront leur envoyer des transferts. »
En septembre, lors d’un meeting dans les environs de Portland, dans l’Oregon, des membres du groupuscule d’extrême droite Proud Boys ont, eux, “annoncé qu’ils comptaient surveiller les sites où sont rassemblés les votes par correspondance”, toujours, disent-ils, par crainte de la fraude.
Présidentielle américaine J-21. Michigan, Pennsylvanie, Wisconsin, Oregon… À l’approche de l’élection du 3 novembre, l’inquiétude monte autour de ces militants d’extrême droite qui pourraient venir armés dans les bureaux de vote perturber le scrutin.
Au moins deux blessés et la manifestation disperse. Au moins deux (2) personnes ont été blessées par balles au cours du déroulement de la manifestation de l’opposition pour réclamer la démission du Président de la République Jovenel Moïse. Les forces de l’ordre ont fait usage de gaz lacrymogène, de balles en caoutchouc et de balles réelles pour empêcher aux manifestants de poursuivre leur chemin.