Le secteur syndical réclame un salaire minimum à 500 gourdes pour les ouvriers des différentes entreprises du pays. Le salaire minimum est passé de 70 gourdes à 200 gourdes par jour selon la Loi Benoit ( 2009) pour toutes les caté Dernièrement certains syndicats comme le KODEVI étaient en grève réclamant non seulement l’ajustement de salaire mais aussi des mesures d’accompagnement social, des subvention a nieau transport Logements sociaux et surtout le droit de choisir son médecin, l’hˆøpital où il sera soigné et un emps conge de maladie en rapport avec la maladieLe gouvernement a nommé un conseil supérieur du Salaire qui fialement a pu entrer en fonction et qui, après de nombreuses tergiversatons a anoncé pour le 29 Novembre l’annonce du Salaire minimum. Les syndicates d’ouvriers ont décié de manifester quatre jours avant cette date , soit le 26 Novembre à travers le pays pour rapeler au Conseil supérieur du Salaire ses diverses revendications. Les ouvriers ont eaucoup isisté sur le fait que les 300 gourdes promis par certaies enterprises est un salaire minimum lié à la production. C’est à dre por ‘btenir il faut faire un nombre de pieces bien determinees par jour, ce qui est ipossible dans la plupart des cas, ce qui ne les rend pas qualifié pour ce salaire de 300 gourdes. Vue l’augmentation constante du coût de la vie, vu les mauvaises conditions actuelles du niveau de vie de nos ouvriers, ils réclament en plus d’une sensible amélioration de leur salaire minimum, une subvention au niveau du transport, des logements sociaux adéquats, des soins de santé autant d’améliorations qui feront se transformer la vie de ces citoyens qui jouent un grand rôle et contribuent à relever le niveau économique du pays . Yannick Etienne de Batay Ouvriye était l’Invitée d’Elsie à Mélodie matin ce Jeudi et elle a aussi attiré l’attention sur les conditions de travail dans nos usines textiles de la sous-traitance, où il reste encore beaucoup à faire.
Le Dimanche 17 Novembre a été inauguré ce Musée érigé au sein de la Citadelle. Il présente la plus grande collection connue de bouches à feu du XVII ème siècle lit on dans une dépêche de Haïti Libre qui précise aussi que la quasi-totalité de ces cannons, ces mortiers ou obusiers en fonte ou en bronze d’origine française, anglaise espagnole et italienne ont été gagnés sur l’ennemi sur les champs de bataille par l‘armée indigène, commandée par le Général Toussaint Louverture puis par le Général Jean Jacques Dessalines. « Avec le Musée d’Artillerie de la Citadelle Henry commence un nouveau voyage à travers le temps et la vision du Roi Bâtisseur a déclaré Mme Michèle Gardère Frisch, directrice du Musée du Panthéon National Haïtien (MUPANAH) au Champs de Mars. La Directrice Générale de l’Institut de Sauvegarde du Patrimoine National (ISPAN) Mme Monique Rocourt a tenu, de son côté à exprimer toute sa reconnaissance envers les Pères Fondateurs de la Nation Haitienne : « Que grandisse à jamais notre amour pour cette terre qui nous a vu naitre, notre reconnaissance pour ceux qui nous l’ont transmise et notre engagement citoyen à la garder belle et digne pour nos fils. « Les travaux de réhabilitation d cette forteresse à la charge de l’ISPAN ont repris il y a 5 mois afin de permettre l’aménagement d’autres parties du musée telles que le quartier des officiers et le Palais des Gouverneurs.
L’Adoption en Haïti La directrice de l'institut du Bien Etre social et de recherches (IBESR), Arielle Jeanty Villedrouina anoncé cette semaine que le gouvernement présentera prochainement un rapport sur la situation des enfants en Haïti. Le document a été élaboré par une commission interministérielle et sera dans un premier temps approuvé par le Conseil des Ministres. Le gouvernement Lamothe présentera le rapport sur la convention des droits de l'enfant lors d'une réunion internationale sur les droits de l'enfant au siège de l'Onu à Genève (Suisse). Mme Villedrouin révèle que l'Etat haïtien avait accumulé un retard de 10 ans par rapport à son engagement dans le cadre de la convention des droits de l'enfant. Elle a voulu aussi signaler d’autres realizations du gouvernement concernant les enfants et le respect qui leur est dû: Elle mentionne le programme de scolarisation universelle lancé en 2011. Ce programme permet à plusieurs centaines de milliers d'enfants d'avoir accès à l'éducation. - La baisse de la mortalité infantile résultant des programmes de vaccination. Dans le même temps, le ministère des affaires sociales a entrepris la réouverture des centres d'accueil. Le centre de Delmas est opérationnel et accueillera 400 enfants vulnérables. Le ministère des affaires sociales lancera prochainement un nouveau programme " Les familles d'accueil " également destinés aux enfants vulnérables. Parmi les progrès enregistrés la directrice de l'IBESR cite entre autres le vote de la loi sur la traite des enfants par la chambre des députés, la publication de la loi sur l'adoption internationale et les dispositions administratives contre le trafic des enfants. Outre l'IBESR, les ministères des affaires sociales, de l'éducation, de la santé, de la justice, des sports, les tribunaux de première instance et le tribunal des mineurs entres autres ont été impliqués dans l'élaboration du rapport sur la convention des droits de l'enfant.
Alors qu’ils protestaient dans l’enceinte du Parquet, les avocats grévistes ont du mettre fin prématurément à leur sit-in, suite à la découverte d’un liquide nauséabond qui se trouvait devant le bureau du Commissaire du gouvernement, Me. Francisco René a constaté HPN. Munis de sifflets ou de tambourins, les avocats avaient, avant d’investir les locaux du Parquet, fait annoncer par le Bâtonnier que les mobilisations ne faisaient que commencer avant que la présence, pour le moins suspicieuse, d’un liquide nauséabond les ait obligées à regagner la cour. « Nous avons décidé de faire du bruit puisque nous constatons que le gouvernement ne nous entend pas » a révélé Me. Stanley Gaston. Plusieurs des avocats interrogés ont attribué la présence de ce liquide à Me. Francisco René qui, selon Me. Hercule, aurait « déserté son bureau depuis hier soir. » « Francisco ne peut nous impressionner, il sait que nous nous sommes débarrassés d’individus plus réfractaires que lui. » a déclaré un avocat. Plusieurs slogans avaient été scandés par la membres de la basoche en colère dont le très connu « Bye-bye Nicole » Le sit-in devrait reprendre d’ici lundi jusqu’à ce que le Barreau obtienne gain de cause, a-t-on appris.
Le président de l’assemblée nationale, Dieuseul Simon Desras, a sévèrement critiqué l’exécutif, le 22 novembre à l’ouverture de la deuxième session extraordinaire de l’assemblée nationale, qui doit statuer sur plus d’une dizaine d’instruments légaux, parmi lesquels la loi électorale. Le réquisitoire de Desras est accablant : « le président de la république est en rébellion ouverte contre la constitution et la loi, (…), des nominations de juge ont été faites en transgression de la loi, il ignore avec arrogance les échéances électorales, il s’oppose arbitrairement à l’élection des juges du contentieux administratif, il arme des civiles, il fait libérer des bandits accusés d’actions criminelles, il menace en permanence le parlement et l’ordre démocratique ». Le président de l’assemblée nationale souligne aussi des problèmes d’ordre institutionnel. Plusieurs structures de l’État sont bloquées et nombre d’entre elles ont failli à leur mission, laissant les administrés dans une situation inacceptable, dénonce-t-il. Parallèlement, relève le parlementaire, « les rues du Cap Haïtien, de Port-au-Prince, des Cayes, sont agitées par des actions citoyennes grimpant à l’assaut des bastilles édifiées par un pouvoir qui a peur des droits et des libertés publiques ». Desras a ainsi fait allusion aux dernières manifestations antigouvernementales qui ont mobilisé plusieurs milliers de personnes réclamant la démission du président Michel Martelly, soupçonné, entre autres, de trainer les pieds en ce qui concerne le processus électoral. La présidence a pris 2 mois pour remanier le projet de loi électorale, préalablement élaboré par le Collège transitoire de gestion du conseil électoral permanent (Ctcep). Le 9 septembre 2013, les députés l’ont voté avant de partir en vacances. Le 2 octobre, ce projet de loi a obtenu le vote des sénateurs, mais dans des termes différents. Cette nouvelle loi électorale devrait réglementer les prochaines élections (sénatoriales partielles, locales et communales) en retard d’environ deux ans. Par ailleurs, parmi les projets de loi soumis aux députés et sénateurs figurent aussi d’autres documents légaux, qui n’ont pas été votés dans les mêmes termes par les deux chambres. ( Alter Presse)