Pas si nouveau que ça cependant, puisqu’il s’agit du commaissaire Vanel Lacroix remplace Jean Gardy Muscadin et qui était déjà au commissariat de Pétion Ville en 2004. Alertehaiti.ht écrit ceci: La commune de Pétion Ville, depuis le 12 janvier en particulier, est devenu le théâtre de nombreux cas d'enlèvement, de cambriolage, d'assassinat et autres. Les résidents de Thomassin, Laboule, Fermathe et environs vivent dans l'angoisse. Les attaques sont surtout menées en pleine nuit et en week end. Vanel Lacroix n'est pas étranger à cette situation difficile qu'il avait connue lui-même quand il était à la tête de la police de Pétion Ville en 2004. Jean gardy Muscadin dit partir avec la conscience tranquille, la satisfaction du devoir accompli. Vanel Lacroix aura-t-il les moyens et l'effectif qui ont toujours fait défaut à la police. Aura-t-il le support de la population Pétion-Villoise qui a augmenté considérablement depuis le 12 janvier. Quoiqu'il en soit, Vanel Lacroix promet de ramener le calme dans la cité.
Un avion spécial viendra les chercher à Port-au-Prince et ils seront accueillis par une cérémonie de bienvenue du président sénégalais Abdoulaye Wade. Le président Wade a affrété un avion spécial qui ira chercher les étudiants haïtiens à Port-au-Prince, selon Afrique Actu. Ceux-ci auront droit, à leur arrivée dans la capitale sénégalaise, à « un accueil populaire » et une cérémonie de bienvenue présidée par M. Wade lui-même. Suite au tremblement de terre du début de l’année en Haïti, le président sénégalais Abdoulaye Wade avait offert d’accueillir dans son pays les Haïtiens qui souhaiteraient y émigrer. Les jeunes Haïtiens retenus pour le voyage au Sénégal – environ 30% de filles - devaient avoir le niveau requis pour suivre des cours à l’université et, par ailleurs, avoir été affectés par le tremblement de terre, a expliqué le directeur de la communication du « Projet Haïti » au ministère des Affaires humanitaires, Mamadou Sèye. Ils poursuivront leurs études dans diverses universités, dont celles de Dakar et Saint-Louis et bénéficieront de bourses du même montant que les étudiants sénégalais.
Selon un rapport de Refugees International, 70 % des quelque 1300 camps de sinistrés établis dans la foulée du séisme du 12 janvier ne sont toujours pas supervisés conformément par la communauté internationale.
Près de dix mois après le tremblement de terre, des milliers d’Haïtiens sont logés dans ces camps de toile et vivent dans des conditions épouvantables, soutient l'organisation. Ils peinent à se nourrir et craignent d'être intimidés ou délogés. Les femmes vivent en plus dans la peur d'être violées. RI affirme qu'à l'heure actuelle, la violence sexuelle augmente dans les camps. « Le taux de grossesse parmi les adolescentes est extrêmement élevé dans les camps et les agences médicales ont rapporté à Refugees International qu'elles doivent traiter de nombreux cas de complications à la suite des tentatives d'avortement dans la rue. Certaines de ces filles n'ont pas plus de 10 ans. » L'organisation ajoute que « des femmes et des filles se voient forcées de vendre leur corps contre de la nourriture, surtout depuis qu'un terme a été mis aux distributions générales de nourriture en avril. L'accès aux activités qui génèrent des revenus diminuerait l'exploitation sexuelle et les abus commis contre les femmes et filles ». Refugees International montre du doigt le Haut Commissariat aux droits de l'homme de l'ONU, responsable des opérations de protection de la population, et l'Organisation internationale pour les migrations, qui a le mandat de coordonner et administrer les camps. Le Haut Commissariat aux droits de l'homme, dit l'organisation, n'a pas d'expérience opérationnelle dans le domaine de la protection en cas de catastrophe, dit-elle, tandis que l'Organisation internationale pour les migrations n'a sur le terrain que trois officiers de protection à sa disposition. Comme ces derniers n'ont aucun lien avec des officiers de protection locaux, la sécurité dans les camps est tout à fait inadaptée, conclut l'organisation non gouvernementale.(hpn)
La Fondation Clinton offre un demi million de dollars à JP Haitian Relief Organization. Cette fondation JP Haitian Relief Organization a été fondée par Sean Penn et l’argent va être utiisé pour des projets Santé education création d’emploi pour des dizaines de milliers de personnes déplacées après le tremblement de tere. En effet l’organisation de Sean Penn administer un camp de réfugiés à Péort-au-Prince et travaille activement à la relocalisation de 55.000 résidents du camp. Le groupe fourit aussi des services médicaux, des consultations et des seminaries en education. Sean Penn a complimenté son staff constitué surtout d’Haïtiens vendredi pour avoir gagné la confiance de Clinton en fournissant de grands services à la population .
C’est Kiskeya qui l’annonce sur son site en précisant que l’UNNOH, organisation au sein de laquelle militait la victime a décidé d’ouvrir des poursuites contre la policière qui avait tiré atteignant ainsi Jean Willy Bellefleur d’une balle à la tête qui est décédé tôt samedi à l’Hôpital de l’Université d’Etat d’Haïti (HUEH) . Mais le syndicat de l’UNNOH attribue à de la négligence des médecins de l’HUEH la mort de Jean Philbert Louis qui devait être opéré, ce qui n’a pas été fait, alors que tout avait été remis aux médecins_ pochette de sang et médicaments) pour permettre à l’opération d’avoir lieu. Pourquoi l’opération n’a t-elle pas eu lieu comme prévu ? Pourquoi la policière a t-elle tiré ? Se sentait-elle menacée par la foule qui devenait de plus en plus agressive ? A t-elle tiré une balle ou bien s’agit il d’un envoi massif de gaz lacrymogène Tout cela nécessite une sérieuse enquête. Un jeune professeur, Jean Philibert Louis y laisse sa vie. Il n’avait que 35 ans et était professeur de mathématiques et de physique dans les écoles de Port-au-Prince. Une deuxième personne légèrement blessée au cours de la manifestation avait pu regagner son domicile immédiatement après.