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Des centaines de milliers de sinistrés du tremblement de terre dans des conditions sanitaires précaires, pourraient attraper la malaria, a averti samedi dans un communiqué le Centre pour le contrôle et la prévention des maladies (CDC), basé à Atlanta (Géorgie, USA).
“ Entre le 12 janvier, date de la tragédie, et le 25 février, le CDC a enregistré 11 cas de personnes qui ont attrapé la malaria lors d’un séjour en Haïti, en particulier des personnels d’organisations humanitaires.
Le centre précise que pour de nombreux cas d’infection on n'a pas encore établi un diagnostic définitif.
Par ailleurs, l’armée américaine affirme avoir dénombré au moins six soldats tombés malades dans le cadre de la mission humanitaire lancée par l’administration Obama en faveur des populations haïtiennes sinistrées.
Le CDC rappelle que le parasite plasmodium falciparum, responsable du paludisme, est très répandu en Haïti et est à l’origine de "la forme la plus grave et mortelle" de la maladie.
Les conclusions alarmantes du Centre américain pour le contrôle et la prévention des maladies contrastent cependant avec le dernier relevé de l’Organisation panaméricaine de la santé (OPSOMS) selon lequel, malgré la détection de certains cas, une grave épidémie de paludisme ne serait pas à craindre après le séisme du 12 janvier.
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L’objet de ce traffic serait une exploitation sexuelle de enfants qui seraient forcés à des actes sexuels par des adultes . Les enfants, des mineurs, au nombre de vingt seraient arrivés en Bolivie munis d’une autorisation de départ dûment signée d’avocats haïtiens .
Un juge de la cour de justice bolivienne de Santa Cruz a ordonné samedi l’incarcération de deux haïtiens et d’une bolivienne . Pour les Haïtiens, il s’agit d’un homme de 50 ans, répondant au nom de DORVIL et d’une femme de 24 ans dont l’identité n’a pas été révélée. On les a envoyé en prison parce qu’ils ont été incapables de rien dire concernant les enfants qui étaient avec eux.
Quant aux enfants, ils étaient âges de six à seize ans.
Le parquet de la ville bolivienne située à la frontière avec le Paraguay et le Brésil soutient que les voyageurs avaient quitté Port-au-Prince deux jours avant le séisme du 12 janvier et ne peuvent pas donc être considérés comme des victimes directes de la catastrophe. Pour atteindre le pays andin, ils avaient transité successivement par la République Dominicaine, le Panama et le Pérou.
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Michaëlle Jean est arrive tôt dans la matiné du Lundi 8 mars à Port-au-Prince. Elle a rencontré le Chef de l’Etat et les membres du gouvernement, a participé à une célébration de la Journée Inernationale des femmes en l’honneur es militantes haïtiennes mortes durat le séisme et s’est rendue à Jacmel, berceau de sa famille.
Michaëlle Jean a assure à la population haïtienne que le pays, où
elle-même est née, n'était "pas seul", promettant l'aide d'Ottawa pour se relever des destructions "invraisemblables" causées par le séisme du 12 janvier.
"Je veux que le peuple haïtien sache: +Vous n'êtes pas seuls+. Je veux que vous sachiez que partout au Canada, les gens sont prêts à vous appuyer pendant la reconstruction", a-t-elle déclaré lors d'une conférence de presse conjointe avec le président haïtien René Préval.
Mardi, elle est partie pour la République dominicaine où elle a rencontré Leonel Fernandez, président de la République dominicaine voisine.
Pays le plus pauvre des Amériques, Haïti a perdu plus de 220.000 personnes dans le séisme du 12 janvier qui a également fait près de 1,2 million de sans-abri, détruit 70% de la capitale et englouti la moitié de l'économie du pays.
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René Préval a laissé Port-au-Prince lundi dans l’après midi porwashigton où il doit rencontrer le president Barack Obama mercredi matin.
Le president haïtien a rencontré le chef de la diplomatie américaine Hillary Clinton et ils ont tous deux souligné mardi la nécessité d’organiser es elections dès que possible dans le pays.
“ Il faut chercher une voie et les specialists le feront pour que lorque je quitterai le pouvoir il y ait un parleent et n president élus” a dit le chef d’Etat haïtien, après sa rencontre avec Madame Clinton.
"Le pire", a-t-il ajouté, "c'est d'avoir un gouvernement qui n'ait pas la légitimité, qu'on entre dans une période de gouvernement provisoire. Il faut un gouvernement qui ait la légitimité populaire".
Madame Clinton, de son côté a ajouté : "Nous devons travailler à des élections (...) et ls Etats-Unis travailleront aec la communauté internationle pour que es elections aient lieu dès que cela ser approprié”.
Le Conseil électoral provisoire haïtien (CEP), dont le local a été détruit par le séisme, a reporté sine die les élections législatives prévues fin février. Le scrutin présidentiel est prévu en décembre, le mandat de M. Préval courant jusqu'en février 2011.
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Pas grand chose n’a filtré de la rencontre quia eu lieu mercredi matin à Washington à la Maison blanche.
On sait que René Préval a tenu à remercier chaudement son hôte pour le concours fourni jusqu’à présent à Haïti dans cette situation difficile
On sait aussi que le Président Barack Obama a tenu à souligner que la crise haïtienne était loin d’être terminée et que la population avait encore un urgent besoin d’aide humanitaire. Il a mis en garde contre ce qu’il a appelé une seconde catastrophe, en faisant allusion à la saison cyclonique.
Tandis que le Président René Préval a tenu à rendre hommage aux américains morts au cours du séisme du 12 Janvier.