L'ONU a présenté un projet de loi appelant à une action mondiale contre le racisme et la discrimination
Résumé du vote :
Oui : 106.
Non : 14. Abstention : 44.
Sans droit de vote : 29.
Tous les membres votants :193
Plus de 100 pays ont voté « Oui ».
Devinez qui a voté contre~ *États-Unis, Royaume-Uni, Australie, Canada, Israël, France, Allemagne, Pays-Bas.
Les grands européens sont NON.
Reste de l'europe ABSTENTION.
Ce sont les pays qui appellent constamment d'autres pays sur les droits de l'homme et la liberté.*
Par Haiti Standard - Le dimanche (26 septembre), des individus lourdement armés ont tué l’un des diacres de la première église baptiste de la rue de la Réunion, en plein cœur de Port-au-Prince. De plus, ils ont blessé plusieurs personnes qui se trouvaient dans l’église avant d’enlever l’une des fidèles. Cette dernière serait l’épouse du diacre Sylner Lafaille tué au cours de l’attaque perpétrée contre ce patrimoine religieux du pays.
Cela s’est produit au moment où les responsables de l’église s’apprêtaient à ouvrir le premier culte de la journée. Une attaque armée qui vient de marquer un nouveau tournant dans le banditisme à Port-au-Prince.
Les blessés ont été transportés vers des centres hospitaliers de la capitale et ses environs. Le cadavre du diacre abattu par les malfrats est resté sur un escalier de l’église en attendant les formalités légales.
Qu’est-ce qui pourrait empêcher les bandits armés de faire irruption aussi dans une école pour perpétrer leurs forfaits?
Ajouter à ces questions l’instabilité politique, la crise de carburant, etc…C’est l’actuel tableau qu’offre le pays !
INEFFICACITE DE LA PNH
LE RAPPORT DE MADAME LALIME .
Madame Helen Lalime en tête du BINUH Bureau des Nations Unies en Haïti a déclaré à la tribune des Nations Unies que la Police haïtienne ne pourra pas venir à bout des gangs qui terrorisent les résidents de la capitale Port-au-Prince.
LA PNH est sous-financée et ne pourra jamais à elle seule endiguer l’augmentation inquiétante des gangs a t-elle déclaré en présentant son rapport devant le Conseil de sécurité.
Mais la PNH fait des efforts a t-elle continue.
La diplomate onusienne pense que le rétablissement de la sécurité notamment dans la ville de Port-au-Prince doit être une priorité pour les autorités haïtiennes.
Port-au-Prince, en effet depuis le mois de juin voit la création de nouveaux gangs, ce qui a provoqué le déplacement de 19.000 personnes des communes de Cité Soleil, Croix des Bouquets, Delmas et aussi du quartier de Martissant.
Ce sont les gangs qui exercent le contrôle des points d’entrée et de sortie stratégique de la capitale.
Tout cela a un impact négatif sur l’économie du pays.
Elle appelle le Gouvernement à mettre en œuvre une approche plus globale de la lutte contre la violence des gangs, dans le cadre de la stratégie nationale de réduction de la violence communautaire, élaborée avec le soutien de l’ONU et approuvée le 5 juillet dernier.
MARTINE MOISE AU TRIBUNAL
Le mercredi 6 octobre, Mme Martine Moïse s’est présentée devant le Juge d’instruction au Tribunal de première instance de Port-au-Prince
Cette convocation avait eu lieu, parce que la Justice voulait entendre la version de Madame Moïse sur ce qui s’était réellement passé dans la chambre à coucher du couple où Jovenel Moïse a été brutalement assassiné , vers les 1h30 du matin, AU COURS DE LA NUIT DU 7 JUILLET 2021. Alors que Madame Moïse se trouvait à l’intérieur du tribunal, on pouvait entendre un vacarme sans cesse grandissant. Il s’agissait de partisans et d’opposants à Jovenel, e président décédé , réclamant l’arrestation de la dame pour l’assassinat du batelier de l'ordre des avocats, Maitre Montferrier Dorval assassiné environ une année avant l’assassinat du président Jovenel Moïse
La police, présente sur les lieux a eu toutes les peines du onde à camer les esprits.
Rien n’a filtré cependant sur la teneur de l’interrogatoire qu’a eu à subit Madame Moïse, non plus sur ses réponses au juge d’instruction Gary Dorélien. .
Parmi les personnalités ayant accueilli Martine Moïse on peut citer l’ancien sénateur de la République, Nawoom Marcellus, l’ancien député Victor Profane, l’ancien ministre des Travaux publics, Nader Joiseus, l’ancienne directrice générale du Service national de gestion des résidus solides (SNGRS), Magalie Habitant, l’agent exécutif intérimaire de Port-au-Prince, Luckson Janvier, l’agent exécutif intérimaire de Pétion-Ville, Kesner Normil et l’activiste politique, Rosemond Jean.
VIOLENCES DEVANT LE TRIBUNAL
Violence : Deux militants de l’ancienne opposition tabassés par des supporters de Martine Moise
par Hervé Noël
L’épouse de Jovenel Moise, Martine Moise doit répondre sur certains dossiers de justice dont celui de l’ancien bâtonnier de l’ordre des avocats de Port-au-Prince, Monferrier Dorval, ont scandé des militants de l’opposition. Ils ont exigé également que la lumière soit faite sur d’autres dossiers dont l’exécution de l’étudiant Gregory Saint-Hilaire, de celui des journalistes Rospide Pétion et Diego Charles, des victimes des massacres dans des quartiers populaires.
Mercredi 6 octobre 2021 ((rezonodwes.com))–
Au milieu des supporters qui réclamaient justice pour les proches de Jovenel Moise, assassiné le 7 juillet dernier dans son intimité à Pèlerin 5, des voix discordantes de militants de l’ancienne opposition ont fait écho aux revendications des citoyens assassinés à Port-au-Prince.
Des proches d’anonymes comme des personnalités assassinés sous le règne de Jovenel Moise sont en droit de bénéficier justice et réparation, ont clamé deux militants de l’opposition, ce mercredi, au Palais de Justice.
Irrités par le comportement de ces militants, des supporters de Martine Moise, accoutrés de t-shirts à l’effigie de Jovenel Moise, les ont brutalement insultés et agressés physiquement, sous le regard passif des forces de l’ordre.
Les citoyens agressés ont dû précipitamment abandonner les lieux pour afin d’échapper à la mort.
Pour des observateurs présents dans l’enceinte du Palais de justice, cette scène d’une rare barbarie témoigne du fanatisme aveugle et du délire manifesté par les zélés du régime qui avaient, il y a environ deux mois, saccagé la ville du Cap-Haïtien.