Deux véhicules de transport en commun ont percuté et ont été précipités dans un ravin.
Quatre personnes sont mortes sur le champs.
Les bléssés ( et ils sont nombreux ) ont été transportés à l’hôpital, grâce à la vigilance de la poplation qui s’est rapidement précipitée sur les lieux…
Le CEP a publié lundi un communiqué dans lequel il a mis dans un même panier un groupe de 17 partis et groupements politques qu'il accuse de s'être livrés à des actes de violences, irrégularités et autres exactions lors de la journée electorale du 9 août dernier. Ils courent le risque d'exclusion en cas de récidive, menace le CEP. Dans cette liste signée par le président Pierre Louis Opont, le PHTK est cité 5 fois, Bouclier 4 fois, KID 3 fois, Vérité 2 fois, PONT 2 fois et les 12autres partis, une fois. Toutefois, aucune mesure n'a été prise contre un seul candidat du parti pro-gouvernemenal Bouclier. Le CEP avait pourtant fait savoir que les mesures de radiation prises contre un groupe de 16 candidats au sénat et à la députation, n'ont pas été prises sur simples accusations, mais sur la base de preuves. Et c'est ce qui expliquerait qu'aucun candidat de Bouclier n'ait été sanctonné, en depit du fait qu'aux côtés du PHTK et de Verité, les candidats de Bouclier sont les plus dénoncés à travers le pays. Et pourtant, le CEP a inscrit ce parti pro-gouvernemental sur la liste des partis dont les candidats ont commis des fraudes, violences et autres forfaits. Le CEP doit de ce fait disposer de preuves que des candidats de Bouclier sont fautifs. Et pourtant de tous les 17 partis inscrits sur la liste noire (PKTK, Bouclier, Vérité, KID, AAA, APLAH, Reparenn, PONT, PITIT Desalin, PPN, RESPE, LAPEH, FUSION, ADRENA, RENMEN AYITI, PONT, KOREGA, seul Bouclier n'est pas sanctionné. Dans le cas où le CEP ne disposerait pas de preuves des exctions de Bouclier, ce dernier serait en droit de porter plainte contre l'organisme électoal qui le place sur la liste des violents sans qu'il n'ait commis ni fraudes ni violences. Jusque là, le CEP laissait comprendre, que seuls 16 individus sont responsables de toutes les violences et exactions observées par tous lors de la journée électorale mouvementée du 9 août 2015. Le CEP est ainsi pointé du doigt pour des déclarations qui contrastent nettement avec les actes posés. Et le leader du parti Respè Charles Henri Baker d'estimer que le Conseil électoral risque de jeter le pays dans une grave hécatombe, s'il ne revient pas à la raison.
Dans une note en date du 20 aout dernier, le ministère de la santé publique annonce avoir constaté sur certaines côtes du pays, l'apparition anormale d'une quantité d'algues marines.
Ces algues appelées également sargasse dégagent une odeur nauséabonde et sont capables d'avoir des incidences négatives sur la santé.
‘'L'exposition continue de la population peut engendrer des symptômes comme les yeux qui grattent, le nez qui coule, une quinte de toux allant jusqu'à la nausée et les vomissements'', prévient le MSPP qui demande à toutes les communautés vivant au niveau du littoral affecté par ce phénomène d'éviter autant que possible de s'introduire au niveau de la mer.
Les sargasses , ces algues marines tellement désagréables ont déjà envahies les côtes des Antilles françaises. La Martinique semble particulièrement affectée, au point où des plages très réputées ont du être fermées
Il faudrait que le ministère de l'environnement donne la liste d es plages ha tienness particulièrement affectées et recommande à la population le genre de comportement à avoir pour les détruire.
Nous savons que les sargasses ont la vie dure, mais il doit quant même exister un moyen de s'en débarrasser.
Le Département de la Sécurité Intérieure des Etats-Unis (U.S. Homeland Security), a prolongé la demande de Statut de Protection Temporaire (TPS), en faveur d’Haiti pour une période additionnelle de 18 mois jusqu’au 22 juillet 2017. Le TPS supporte directement l’objectif des Etats-Unis pour une Haiti stable et économiquement viable en permettant aux citoyens haïtiens d’avoir un emploi rémunéré aux Etats-Unis, en attendant l’amélioration des conditions de leur pays.
(Fin du Texte)
Au Brésil, une enquête de l'Associated Press révèle que les eaux de Rio de Janeiro dans lesquelles les athlètes des Jeux olympiques vont concourir en 2016 sont extrêmement polluées. Les nageurs, les athlètes de voile et de canoë ont 99 % de chance d'être contaminés selon cette étude. La promesse de dépolluer la célèbre baie de Guanabara, dont la vue sur le Pain de Sucre est exceptionnelle, n'a pas été tenue.
Les eaux usées des 6 millions d'habitants de Rio de Janeiro se déversent dans la Baie de Guanabara. Les cariocas ne s'y baignent même pas. « Cette eau, c'est tout simplement l'eau des toilettes, des douches et des éviers des habitants de la ville», résume le biologiste américain John Griffith.
Et pourtant, 1 400 athlètes disputeront les épreuves de voile dans cette baie. Le risque d'infection s'élève à 99 % en ingérant l'équivalent de trois petites cuillères de cette eau contaminée. Contracter une maladie respiratoire et digestive est presque inévitable.
La promesse de décontaminer la baie n'a pas été tenue, faute de temps. Des éco-bateaux ont été mis en place pour récupérer les déchets flottants, mais les virus subsistent. Les autorités brésiliennes recommandent donc aux participants de se vacciner contre l'hépatite et la typhoïde. Et certains docteurs conseillent aux athlètes de venir s'acclimater à ces eaux afin de développer leur système imunitaire.