Un garçon américain de 13 ans signalé comme disparu par sa mère en 2010 a été découvert vendredi dernier par la police dissimulé dans une cache dans la maison de son père en Géorgie (Atlanta, Etats-Unis). Le père Gregory Jean, 37 ans, est un américain [nationalisé] d’origine haïtienne qui vivait dans la localité de Clayton County depuis près 6 ans, a appris HPN.
Cinq personnes ont été arrêtées, dont le père et la belle-mère Samantha Joy Davis (42 ans) à Jonesboro, près d’Atlanta, selon le média en ligne local WXIA. Ils sont inculpés d'obstruction, de séquestration et acte de cruauté envers un mineur. Depuis samedi, les médias américains, tels que CNN et NBC, diffusent des images du garçon se serrant contre sa mère, les deux en larmes, lors de leurs retrouvailles.
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Des voisins ont affirmé avoir vu quelques fois l'enfant travailler dans le jardin, et avoir entendu dire qu'il était scolarisé à domicile. La mère du jeune garçon, méconnaissant le système, n'avait pas signalé la disparition de son fils à la police mais aux services sociaux, a expliqué la police sur la chaîne locale WSB. Toutefois, la police doit encore tirer au clair cette question. En attendant, l'enfant a été confié aux services sociaux.
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Rencontre entre Madame Pamela White et des leaders de l’Opposition.
Elle a eu lieu dans l’après midi du Mardi 2 Décembre 2014.
L’ambassadrice des Etats-Unis d’Amérique Madame Pamela White est arrivée dans une atmosphère de grande tension , des manifestants s’étaient potes devant les locaux de FUSION pour protester contre la présence au pouvoir de Martelly/Lamothe et demander leur démission.
Les manifestants étaient de lus en plus excités.
L’ambassadrice , une fois la rencontre terminée se trouvait devant la porte du local de FUSION et s’entretenait avec des journalistes.
C’est à ce moment que les manifestants se sont mis à envoyer des projectiles, roches et autres contre l’ambassadrice.
Son service de sécurité a du la couvrir pour partir avec elle.
Mais là aussi les manifestants ont voulu barrer la route à la voiture de l’ambassadrice et les forces de police ont du tirer pour dégager la voie et permettre au cortège de Madame Pamela White de s’en aller.
Qui étaient les manifestants ?
L’on sait qu’à l’intérieur du local de Fusion se trouvaient les dirigeants politiques du MOPOD, FUSION, OPL…
L’on sait aussi que Fanmi Lavalas avait boudé la rencontre et ne se trouvait pas représentée .
Le président Martelly a installé ce lundi au palais national les membres de la commission consultative présidentielle devant travailler sur une sortie de crise avant le 12 janvier 2015.
Durant huit jours ces juristes, historiennes, leaders politiques et hommes d'affaires devront pencher sur les différentes propositions qui ont été faites au chef de l'état lors de sa série de consultations qui a duré deux mois afin d'en tirer la solution la plus viable.
En installant les 11 membres de cette entité, le président Martelly a exprimé ses craintes sur l'avenir de la démocratie en Haïti.
« La non tenue des élections à la fin de cette année va créer une situation complexe… cet handicap nous conduit à une forme d'impasse avec des conséquences certaines sur la vie politique économique et sociale de la nation » prévoit Michel Martelly regrettant que les amendements à la loi électorale n'aient pas été votés malgré les efforts de l'exécutif.
Quand aux membres de la commission, ils ont promis d'être impartial et de contribuer dignement à la résolution de la crise actuelle.
L'éminent juriste Gérard Gourgues n'a fait montre d'aucun doute sur la tenue prochaine des élections dans le pays de manière a rassurer l'opposition et à mettre le pays sur les rails.
« Après analyse, la commission dira au président voici le chemin à prendre, ce ne seront pas des conseils mais des ordres, des recommandations impératives » a lâché l'homme de loi.
De son coté Evans Paul a félicité le chef de l'état d'avoir permis a ces personnalités venues de différents secteurs de placer leurs mots. Pour le leader de la KID seul un large consensus peut mettre fin à la crise pré électorale.
Les citoyens haïtiens peuvent avoir confiance dans le travail que va réaliser la commission, c'est la garantie donnée par Mgr Patrick Aris.
Une commission rejetée par l'aile dure de l'opposition, ce qui fait planer des doutes sur les probabilités de parvenir à une vraie issue à cette crise aux conséquences multiples. LG/ Radio Métropole Haïti
Plus d'un mois depuis son retour à la tête du Conseil Electoral Provisoire (CEP), le président Max Mathurin qui s'était absenté pour des raisons de santé, a donné, mercredi 26 novembre, sa première conférence de presse, où il fait le bilan des activités déjà réalisés au sein de l'institution, depuis le mois de juillet 2014, a constaté HPN.