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Le Conseil de sécurité de l’Organisation des Nations Unies (Onu) encourage la réalisation des élections dans le meilleur délai, dans le pays, au terme d’une visite de trois jours de sa délégation en Haïti.
Les membres du Conseil de sécurité de l’Onu appellent les protagonistes politiques haïtiens à travailler, ensemble et sans plus de délai, pour assurer la tenue urgente d’élections libres justes, inclusives et transparentes, précise l’ambassadeur du Chili, Cristian Barros Melet, lors d’une conférence de presse, le dimanche 25 janvier 2015, au terme de la visite.
Le Conseil de sécurité de l’Onu entend aussi « soutenir le peuple haïtien, sans prendre parti, mais plutôt pour avoir une meilleure compréhension de la façon dont la communauté internationale peut aider Haïti », souligne, pour sa part, l’ambassadrice des Etats-Unis d’Amérique, Samantha Power.
Se disant convaincu de l’importance d’un compromis, le Conseil de sécurité de l’Onu exhorte également les gens, qui ont des griefs ou des plaintes à propos du passé, à investir leurs énergies de manière constructive dans le processus électoral en vue de la tenue d’élections justes, transparentes et inclusives.
En ce qui concerne la réduction des troupes de la Mission des Nations Unies pour la stabilisation en Haïti (Minustah), Cristian Barros affirme qu’il est « trop tôt pour dire si c’est nécessaire de continuer avec la même configuration ou pas », lors de la conférence de presse du dimanche 25 janvier 2015.La Minustah doit être réduite à un maximum de 2,370 soldats et 2,601 agents de police, mais pas avant le prochain rapport du secrétaire général Ban Ki-moon, prévu pour mars 2015.
Le Secrétariat Général de la Présidence informe le public en général que les nominations suivantes ont été effectuées au sein de l’Administration publique :
Le citoyen Jean Renel Sanon, Secrétaire Général de la Présidence ;
Le citoyen Michel Lapin, Directeur Général au Ministère de la Culture ;
Le citoyen Renold Telfort, Directeur Général au Ministère de l’Education Nationale et de la Formation Professionnelle (MENFP);
La citoyenne Marie Elise Brisson Gelin, Directeur Général au Ministère à la Condition Féminine et aux Droits de la Femme ;
La citoyenne Jacqueline Patricia Chantale Raymond, Directeur Général de l’Office National de l’Aviation Civile (OFNAC);
Le citoyen Edouard Valme, Directeur Général au Ministère des Haïtiens vivant à l’Etranger ;
Le citoyen Hérold Israël, Directeur Général de la Radio Nationale d’Haïti et de la Télévision Nationale (RTNH) ;
Le citoyen Eustache Saint-Lot, Directeur Général du Bureau de Monétisation des Programmes d’Aide au Développement (BMPAP) ;
Le citoyen Julio Joseph, Directeur Général du Service Métropolitain de Collecte de Résidus Solides (SMCRS) ;
Le citoyen Calvin Cadet, Directeur Général au Ministère de la Communication ;
Le citoyen Fritz Gaillot, Directeur Général au Ministère des Travaux Publics, Transports et Communications (MTPTC);
Le citoyen Cyprien Jean Thomas, Directeur Général au Ministère de la Défense.
Un ultimatum est lancé au Président de la république
L’ultimatum a été lancé aux micros de la presse. Le président Michel Joseph Martelly n’a que quelques heures pour modifier le cabinet ministériel à 70 %. C’est-ce qu’exige, à gorge déployée, Rosemond Jean, coordonnateur général du Conseil national des sociétaires victimes de coopérative (CONASOVIC).
Le défenseur zélé des victimes de coopérative sous la présidence du père Jean Bertrand Aristide, Rosemond Jean, réclame sa part du gâteau. Il en veut une bonne tranche. 70 % du cabinet ministériel, réclame-t-il, pour trois groupes politiques dont « Repons peyizan ».
Rosemond Jean demande ainsi au premier citoyen de la nation, de procéder une fois de plus, à un remaniement au niveau du cabinet ministériel.
Et, le chef de l’État n’a pas le droit de perdre du temps. Il doit réagir vite dans les heures qui suivent. Le leader du CONASOVIC ne lui accorde que 24 heures, depuis hier mardi. Sinon, les rues seront occupées dans les jours qui viennent, déclare en flamme M. Jean qui dit appuyer en passant la nomination d’Evans Paul comme chef du gouvernement.
« Nous servons de bouclier pour le pouvoir en place. Nous ne devons pas rester dehors. Il faut que le président Martelly en tienne compte », lâche énergiquement Rosemond Jean.
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Les questions que se pose plus : Et si Rosemond Jean deviendrait ministre ? Sa déclaration va-t-elle avoir effet sur le président Martelly qui, jugent d’aucuns, devient ces derniers temps, une vraie brebis.