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Les vendeurs de copies de CD/DVD dans le collimateur du BHDA

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Catégorie : Les Toutes Dernières
Création : 5 septembre 2012
Le Bureau Haïtien du Droit d’auteur (BHDA) a rencontré mercredi des commerçants du secteur informel impliqué dans la vente illégale et le piratage des œuvres culturelles. Emmanuel Dérivois, Directeur Général du BHDA, a avertit que le délai pour mettre un terme au piratage, la contrefaçon et la vente illégale des œuvres culturelles, était écoulé et annoncé des mesures urgentes contre tous les vendeurs de CD et DVD piratés. Le BHDA souhaite encadrer ces vendeurs illégaux et les encourager à devenir des agents autorisés, pour la vente de produits originaux et légaux.

Alerte au tsunami levée

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Catégorie : Les Toutes Dernières
Création : 6 septembre 2012
Le message de surveillance tsunami émis pour la Caraïbe, dont Haïti, mercredi matin, par le Centre d'alerte tsunami du Pacifique (sigle anglais PTWC), a été rapidement levé. Haïti est hors de danger, a annoncé le système de gestion des risques et des désastres. Le message a été diffusé suite au séisme de magnitude 7.6 qui s'est produit au large du Costa Rica.

« C'est un séisme qui s'est produit loin d'Haïti, il ne devrait pas avoir d'impact sur Haïti », a déclaré l'ingénieur Claude Prepetit à Haiti Press Network

André Apaid écrit au Président Martelly

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Catégorie : Les Toutes Dernières
Création : 6 septembre 2012
Port-au-Prince, le 5 Septembre 2012

Monsieur le Président

Tout d'abord je vous prie d'excuser le ton de cette lettre que je crois justifié. A chaque rencontre que nous avons eu j'ai toujours fait de mon mieux pour vous dire franchement et constructivement les choses. Cette fois-ci pour des raisons évidentes, je me trouve dans l'obligation de vous adresser une lette ouverte.
Quatre jours après que je vous ai exprimé en public ma préoccupation de voir note pays s'orienter vers une grave crise politique due à l'érosion de la confiance dans le processus électoral, j'ai été surpris de me retrouver bloqué à l'aéroport à l'occasion d'un voyage d'affaires important. En effet, le 30 août, au Karibe, j'ai pris mon courage pour vous dire que la perception de l'implication de l'Exécutif dans la crise du CSPH allait être à la base d'une détérioration de l'autorité morale de votre gouvernement et je vous invitais à rectifier ce qui aujourd'hui est évident pour tout le monde. J'ai parlé durant 6 minutes, vous avez pris près de 20 minutes pour me répondre et pour m'exprimer de manière forte et passionnée votre désaccord.
Vu que je n'ai aucun doute que le Commissaire du gouvernement agit en votre nom et pour de multiples raisons politiques je vais me permettre, tant pour la répubation de ma famille que par amour pour la patrie et le peuple haïtien qui sont en souffrance et en atente de solutions réélles à leurs proglèmes, de vous inviter à une autre approche, si possible.
Mon père est connu pour avoir été un homme très courtois mais très courageux. Il a subi la prison au Fort dimanche et un exil qui a duré ans alors que 2 de ses enfants étaient retenus en orage en Haiti en 1962. Il a souffert cet exil à cause de son courage à amener au Sénateur Thomas Désulmé, alors en exil à la Jamaïque, ses 2 plus jeunes enfants ainsi que son épouse parce que ses 2 ainés venaient d'être tués par des membres du corps des VSN. Par la suite, M. Duvalier s'est excusé auprès de mon père au Palais, lui disant que son exil était dû à une erreur des hommes en kaki. Mais le mal était fait. Durant ces 2 années d'exil et durant les années qui ont suivi cette période, alors que le monde entier s'ouvrait autour de nous, se démocratisait et se modernisait, j'ai observé ce que la peur avait fait aux plus pauvres, aux classes moyennes, aux élites économiques et intellectuelles de notre pays. J'ai constaté avec peine combien d'hommes et de femmes de caractère, après beaucoup d'année et de souffrances, étaient amenés ou forcé à laisser le pays ou à faire des compromis avec leurs convictions et leurs rêves de bien faire pour contribuer à une Haïti qui soit bonne pour tous ses enfants. Je vous écris tout cela pour que vous compreniez que sans être nécessairement téméraire, j'ai toujours demandé à Dieu de m'aider à surmonter ma peur car ce constat dont j'ai parlé plus tôt m'a trouvé et révolté. Je suis convaincu que tant qu'on ne surmontera pas cette peur, et tant que ceux qui nous gouvernent ne comprendront qu'ils ne doivent pas l'utiliser, on n'aura ni la démocratie, ni la créativité, ni la liberté, ni la confiance devant amener le niveau d'investissement nécessaire à changer la situation du peuple haïtien.
J'était jeune mais j'ai bien vu et compris comment M. François Duvalier et son gouvernement ayant besoin d'argent, avaient fait arrêter et attacher avec leurs ceintures de pantalon, les pères de plusieurs des jeunes commençants d'aujourd'hui, beaucoup d'entre eux d'origine levantine ou de sang mêlé comme moi. Ils avaient été forcés de marcher à travers le marché de Croix des Bossales les pieds nus afin de les humilier, d'instaurer une peur bleue et d'obtenir les fonds qui nourrissaient la corruption du système d'alors. Je me suis confirmé à moi même qu'un pouvoir qui intimide et fait peur à son secteur privé, ne facilite pas les investissements mais souvent prépare la soumission de quelques membres de ce secteur à rnter par les portes arrières du Palais pour venir faire ensemble de l'argent. Tous les modèles passés et récents nous ont prouvés que ce type d'approche n'amènera, ni à la démocratie, ni la créativité, ni la liberté, ni la confiance devant conduire au niveau d'investissement nécessaire à changer la situation du peuple haïtien.
Quand, en janvier de cette année, je me trouvait déjà en désaccord avec votre gouvernement sur certains changements et qu'après la visite d'un de vos amis et conseilles à mon bureau me demandant de laisser tomber ce support à Monsieur Conille, j'ai vu mon nom écrit sur les murs de Bourdon à Port-au-Prince, me traitant de voleur et me disant de " laisser travailler le Président Martelly", il était clair dès lors, que j'étais sur une liste spéciale, d'autant plus que d'autres fausses accusations plus graves venant de votre bureau m'ont ´té communiquées par plusieurs voies officielles.
Malheureusement Monsieur le Président, ce que je vous ai dit timidement déjà, je me sens obligé de vous le dire publiquement et clairement: on en s'en sort pas si ce que vous sentez ou la satisfaction de vos émotions continuent à être pour vous le plus important. Ceux qui vous connaissent respectent votre bravoure et votre témérité. Aujourd'hui, c'est à votre sagesse et à votre perspicacité que je fais un dernier appel public.
Pour ma part, je prendrai des dispositions sous peu pour édifier le public sur les faits et les conséquences de cette affaire .

Apaid tient le président pour responsable

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Création : 8 septembre 2012


HPN - L’industriel André Apaid, accompagné de ses avocats, a tenu pour responsable le président de la République, Michel Martelly, dans les récentes mesures ayant conduit à son interdiction de départ. Selon le conseil de défense de l’industriel, des indices probants ont montré que ces agissements s’inscriraient dans le cadre d’une persécution politique. 


Me. Gervais Charles, l’un des avocats de M. André Apaid, a qualifié de vexatoire et scandaleuse la récente décision de retenir le passeport de son client et de lui interdire de quitter le pays.
Selon l’ancien Bâtonnier de l’ordre des avocats, ces actions s’inscriraient dans une démarche de persécution politique à l’encontre de son client vu que la DGI a admis que ce dernier ne devait rien à L’Etat haïtien. « Des indices probants militent en faveur de la thèse de persécution », a déclaré Me Gervais Charles.

Rappelant que son client ne devait pas un centime à l’Etat haïtien, l’homme de loi a indiqué que ces actes traduiraient la volonté du pouvoir en place d’établir un sentiment de peur dans le pays pour « mettre le secteur privé des affaires en couple réglée ».


Le conseil de défense de M. Apaid en a profité pour apporter un démenti formel à Joseph Lambert, le conseiller spécial et le porte-parole du président qui a laissé entendre que leur client aurait payé ses dettes pour que son nom soit rayé de la liste des « mauvais payeurs ».
« M. Apaid ne devait rien à l’Etat et n’a rien versé pour reconsidérer son cas », a lâché Me Stanley Gaston, un autre avocat de M. Apaid.
Parmi les indices soutenant la thèse d’une persécution politique, M. Apaid a évoqué un échange entre lui et le chef de l’Etat lors de la rencontre entre la présidence et les partis politiques où l’homme d’affaires a exprimé ouvertement son désaccord avec le président Martelly sur le processus de la formation du conseil électoral Permanent.
L’industriel a pointé du doigt le commissaire du gouvernement qui, dit-il, a agi selon les dictées du président de la République dans le dossier. Selon M. Apaid, le président est personnellement impliqué dans le dossier.
L’ancien responsable du Groupe 184 a invité le chef de l’Etat à se ressaisir car, selon lui, ses manières d’agir ne contribueront à pas à résoudre les problèmes du pays mais à l’enfoncer dans d’autres crises plus grandes.
D’un autre côté, le conseil de défense de l’homme d’affaires a critiqué la procédure engagée par la DGI dans ce dossier et se questionne sur sa volonté de brûler les différentes étapes avant d’arriver à des mesures extrêmes telles les interdictions de départ.


En ce qui a trait à la poursuite contre le gouvernement, M. Apaid a affirmé avoir demandé à ses avocats de compiler tous les dossiers et que les conclusions seront tirées dans les jours à venir.

Ce procès s’il tient lieu, c’est pour donner une leçon aux dirigeants montrant que ce n’est pas parce qu’on est un gouvernement qu’on ne peut être poursuivi, a conclu Me Gervais Charles.

Tué par balles en sortant d’une banque

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Création : 8 septembre 2012

Un homme de 49 ans a été tué par balles ce vendredi à la rue Villate (Pétion-Ville) par des bandits circulant à moto, après avoir exécuté un retrait dans une banque privée de la zone.
Selon le délégué de la commune de Pétion-Ville, cet homme répond au nom de Eliazar Dieuma. Il a été atteint de 3 projectiles tirés par 3 bandits. Il est mort sur place.
“ Les bandits n’ont pas eu l’occasion de prendre l’argent qui se trouvait sur la victime car l’action s’est produite en un milieu très fréquenté.”, a fait savoir M. Petit-Homme.
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