Plusieurs media pensent que le dossier Boulos a été définitivement fermé par la decision du CEP de fermer les inscriptions aux prochaines elections le Vendredi 23 Janvier: Le Conseil Electoral Provisoire (CEP) a réitéré mercredi, lors d’un point de presse en son siège à Delmas (Est de Port-au-Prince), sa détermination à organiser le scrutin législatif du 19 avril pour le renouvellement du tiers du Sénat, avertissant qu’il n’y aura pas de prolongation de délai pour les candidats à l’expiration, le vendredi 23 janvier, de la période de dépôt de candidatures. Le président de l’institution électorale, Frantz Gérard Vêrèttes, a par ailleurs définitivement tranché sur le cas du sénateur « exclu » ou « empêché » du Nord-Est Rudolph Boulos (élu sous la bannière de la Fusion des sociaux-démocrates haïtiens). Des dispositions ont été prises en vue d’organiser des élections pour pourvoir à son remplacement, le CEP étant légalement investi du pouvoir d’en décider, a fait savoir M. Vêrèttes.
Le projet de taxe sur les appels téléphonique est toujours à l'étude
Il s’agit de la fameuse taxe sur les appels téléphoniques qui refait surface avec ces declarations du ministre de la planification et de la coopération externe, Jean Max Bellerive, qui répondait cette aux journalists, en marge d'une rencontre avec les membres de la commission finance de la chambre basse, M. Bellerive a révélé qu'il n'avait pas été informé d'un retrait du projet de loi fiscale sur les appels téléphoniques.
Faisant remarquer que cette taxe de 3,60 gourdes sur chaque minute d'appel s'insère dans le cadre des prévisions de recette de l'état M. Bellerive assure que le projet de loi fiscale est à l'étude au Parlement tel qu'il a été soumis.
Les raisons évoquées sont diverses: Les parlementaires parlent de l’inadéquation entre les axes prioritaires fixes par le gouvernement et les montants qui leur sont alloués. Mais il y a autre chose les deputes demandent à l’Exécutif d’apporter certaines modifications dans le document si il doit être vote par la Chambre basse. Ensuite les deputes trouvent que la ligne budgtaire allouée à certains axes prioritaires est plutôt faible. Et ils citent comme exemploe le tourisme et l’environnement. Et d’ou viendront les fonds locaux devant alimenter le budget? 40%, soit 40 milliards de gourdes sur les 100 milliards, du budget devaient être tirés du Trésor public. Le Premier ministre Michèle D. Pierre-Louis avait récemment émis des doutes sur la capacité de la communauté internationale à respecter son engagement de verser à temps les 60 milliards de gourdes promises au pays pour financer les projets contenus dans le budget. « Pour faire face à toute éventualité, nous allons percevoir de nouvelles taxes sur les télécommunications et les livrets de passeports », faisait remarquer le chef du gouvernement. Devant le mécontentement exprimé par la population, le gouvernement a dû renoncer à l'augmentation des taxes sur les appels téléphoniques.
Le Gouvernement de la République d’Haïti, soucieux de l’approvisionnement régulier du marché des produits pétroliers et désireux de mettre fin aux rumeurs persistantes faisant état de pénurie de carburant, suite à la réunion tenue le mardi 27 janvier 2009 avec les représentants des compagnies pétrolières Dinasa (National), Chevron (Texaco) et Total, tient à informer le public en général et les consommateurs en particulier que l’analyse des stocks disponibles, au 26 janvier 2009, indique qu’il y a suffisamment de carburant dans les citernes des compagnies pétrolières pour alimenter le marché jusqu’à l’arrivée du prochain navire prévue pour le samedi 31 janvier 2009. Aussi, le Gouvernement de la République d’Haïti maintient les dispositions prises le 14 janvier 2009 pour assurer en toute sécurité la livraison des produits. Il demande aux compagnies pétrolières, aux transporteurs et aux stations d’essence de garantir l’approvisionnement adéquat des produits dans les meilleures conditions possibles. Fait à Port-au-Prince, le 27 janvier 2009 Michèle Duvivier Pierre
C’est l’AEC et elle a été ingaugurée le 28 Janvier à Port-au-Prince. La session se terminera le 30 janvier. Une délégation de ministres des Affaires étrangères ainsi que les 28 pays membres de l'Association des Etats de la Caraïbe (AEC) prend part, du 28 au 30 janvier , à la 14e session ordinaire du Conseil des ministres des Affaires étrangères, qui se déroule donc cette année sous les auspices de la République d'Haïti. Cette rencontre, selon les organisateurs, permet aux participants d'aborder de nombreuses questions importantes, dont le tourisme durable, les catastrophes naturelles, le transport et le développement du Commerce et des relations économiques extérieures. Ils profLes participants profitent aussi de cette occasion pour dégager une vision collective des pays membres de l'AEC pour la Grande Caraïbe. Le ministre des Affaires étrangères haïtien, Alrich Nicolas, coordonnateur de cette conférence internationale, a rappelé que notre pays occupe une place prépondérante au coeur de cet évènement vu sa vulnérabilité. « Ces trois journées de discussions nous permettront de trouver un consensus pouvant aider à recueillir d'énormes fonds pour résoudre les problèmes environnementaux ainsi que les problèmes économiques auxquels le pays fait face, car Haïti présente l'indice de risque le plus élevé de la région », avait-il déclaré, lors d'une conférence de presse tenue en début de semaine.