Revue de presse Vendredi 11 Mai 2018
Nous commençons la Revue e Presse aujourdhui avec cette dépêche de l’AHP, lAgence Hazïtienne de Presse:
Le Ministère de la Justice appelle les commissaires du gouvernement à « poursuivre les bandits et leurs complices », accusant la plupart des médias de se faire complices des bandits en leur donnant la parole: Salve de reactions.
En effet, dans une lettre portant la signature du nouveau ministre de la Justice et de la sécurité publique, Jean Roudy Aly, qui circule sur les réseaux sociaux, le Ministère de la justice a fait savoir que « la plupart des médias et journalistes s’amusent quasi quotidiennement à recevoir dans les émissions à libre tribune, des bandits notoires, activement recherchés par la police ».
« Qui pis est, ces bandits qui avouent leurs forfaits, tout en terrorisant la population, prennent le malin plaisir de proférer des menaces par voie de presse aux forces de l’ordre », indique le ministre qui croit que « ce faisant ces professionnels de la presse se font consciemment ou insconciemment complices des bandits qui sèment le deuil au sein des familles haïtiennes.
Après avoir informé avoir demandé aux chefs de parquets de sévir contre les bandits et leurs complices , à savoir les medas et les journalistes, le MJSP sollicite la collaboration de tous les journalistes, en évitant, dit-il, de tendre leurs micros à ces individus qui ne cessent de menacer la stabilité même de l’Etat.
Jusqu’à jeudi en fin de journée, les principales associations de directeurs de médias et de journalistes n’avaient pas reçu la lettre que le Ministère de la Justice affirme leur avoir envoyée.
Cette sortie du ministère de la Justice a provoqué une salve de réactions, dans un contexte lourd, marqué par la disparition depuis près de deux mois, du photo-journaliste Vladjimir Legagneur.
Le président de l’Association nationale des médias haïtiens (ANMH), Frantz Duval dit espérer qu’il ne s’agit que d’un excès de language de la part du ministre de la Justice.
Il affirme que l’ANMH n’a appris la position du ministre que par voie de presse et qu’il attend de recevoir officiellement la lettre du ministre pour que son association ait une position officielle.
L’association des médias indépendants d’Haïti (AMIH) promet aussi une réaction officielle. Toutefois, son président Georges Venel Remarais, fait savoir que l’AMIH ne saurait en aucun cas appuyer un media ou un journaliste qui se ferait clairement complice de bandits notoires et clairement identifiés comme tels.
Il estime cependant que le nouveau ministre de la justice est allé vite en besogne, en faisant des amalgames dans sa lettre : Il demande la collaboration des médias et des journalistes, pendant qu’il instruit les commissaires de les poursuivre, sans exposer ses preuves.
Il incrimine « la plupart des médias dans ses dénonciations, pendant qu’il affirme que c’est dans les émissions libre tribune que les journalistes donneraient quasi-quotidiennement la parole aux « bandits »
Alors qu’il n’y a qu’une infime partie des médiqas qui a une émission de ce genre.
M. Remarais appelle le Ministère de la Justice à être direct et à dire clairement son objectif, tout en promettant la collaboration de son organisation dans tout ce qui concerne le respect de la liberté de la presse et d’information et aussi de la déontologie du métier de journaliste.
L’ancien ministre de la communication, Ady Jean Gardy dénonce cette position du ministère de la justice et soutient que les journalistes ne font que leur travail en permettant à la population et aux autorités de prendre connaissance des aveux publics des personnes concernées.
Le président de la fédération de la presse haitienne se dit préoccupé par cette réaction du MJSP qu’il assimile à une sérieuse menace contre la liberté de la presse chèrement acquise.
Il invite toutefois les journalistes à éviter tout risque de complaisance vis-à-vis d’eventuels bandits et à toujours prendre leurs distance des actes répréhensibles.
NOUS POURSUIVONS LA REVUE avec cette info tirée du qotidien Le National et concernant encoe le Ministre de la Justice Jean Roudy Ally. Cette fois, le nouveau ministre se penche sur le fléau de la détentio préventive Prolongée.
Il cite des chiffres : « sur les 4177 prisonniers au sein du Pénitentier National, il y a 2000 en détention preeventive prolongée. Et sur cette quantité, il y en a 1.005 à avoir des problèmes de dossiers. Les audiences, avec ou sans assistance de jury, vont être multipliées dans toutes les juridictions du pays, annonce le ministre. Pour les personnes qui n’ont pas les moyens nécessaires pour payer les services d’un avocat, dans le cadre du programme d’assistance légale du ministère, ce problème sera résolu. La question de détention préventive prolongée, indique le ministre, est un effet non désiré du dysfonctionnement du système. C’est pourquoi le ministre compte adresser la question au niveau de la gouvernance judiciaire afin d’essayer d’apporter les correctives et des éléments de réponses nécessaires.
Concernant les zones de non-droit, le ministre a indiqué que la période de récréation est terminée. La Police, informe-t-il, a reçu les instructions nécessaires afin de pacifier ces zones au plus vite que possible. Une déclaration déjà faite par le directeur général de la Police nationale d’Haïti, Michel-Ange Gédéon, qui, dans un tweet, avait indiqué qu’un processus a été entamé par la PNH pour pacifier ces zones. Pourtant, les gangs armés de ces communautés ne cessent de semer la pagaille au niveau de ces localités, notamment au niveau de la 3e circonscription de Port-au-Prince, depuis plusieurs mois. Lundi dernier, dans un affrontement entre bandits armés à «Gran Ravin», un citoyen, chauffeur de taxi, s’est fait tuer.
Autre information à la une cette semaine, c’est le remplacement de Mme Susan pAGE à la tˆte de la MINUJUSTH.
Ce sont les autorités haïtiennes qui ont demandé son remplacement. Et ‘est Mamadou DIALLO qui est de retour à la tête de la mission .
Susan Page est maintenant conseillère special du secrétaire general de l’ONU sur l’état de droit. On se rappelle que l’américaine Susan Page avait fait des declarations concernant le dossier petro Caribe qi avaient choquee les utorités haïtiennes.
C’est suite à ces declarations que Haïti avait rappelé son représentant à l’ONU. Il s’agit de l’ambassadeur Denis régis . et que les Nations Unies avaient appelé en consultation Madame Susan Page.
Le Premier ministre haïtien avait alors declare de Haïti n’était ni une savane ni un Moulin , mais un pays souverain.
Madame Page n’est donc pas retournée à son poste.
Un coup d’oeil maintenant sur l’hebdomadaire Hauiti e Marche qui consacre sa preière page à Little Haiti: Encore une occasion rate…
On se souvient du premier discours adressé à la Diaspora haïtienne (expatriés) par un certain président élu nommé Aristide, le 7 février 1991, dans lequel il disait : ‘Bientôt nos petites embarcations feront route vers Miami chargées de mangues, de patates et d’ignames’ !
Bien entendu c’est un peu plus complexe que cela mais pas impossible.
Cependant on n’a rien fait. Comme si on attend que les choses se réalisent d’elles-mêmes. Par magie. Même au pays du vaudou qu’il faut un peu d’effort…
Haïti est le seul pays du continent qui n’a pas une seule enseigne sur le marché américain.
Ah oui, la mangue francisque. Mais que l’on voit de oins en moins à l’ouverture de la saison, début mai dans les stores PUBLIX de Dade cunty Nos voisins dominicains faisaient le maxuum pour nous dérober ce qui a été un marché captif pour Haïti pendant au ins deux décennies. C’est la même terre. Peut être y sont ils parvenus !
Il y a eu aussi l’expérience du café Haitian Bleu qui soudain s’imposait dans tous les foyers aéricainsk puis également eurpoéens et japonais et don’t l’arrivage était guetté comme le Père Noël.
C’est le temps où un certain président René Préval se piquait de relancer la production agricole haïtienne. On a mis tout le paquet. Ce sont les associations cféières natives. Directement du producteur au consommateur. Mais aussi à coups de grandes pages publiciairs dans le New York times ou dans Paris Match qui dit ieux !
Mais soudan l’arrivage du Haitian Bleu commence à prendre du retrd. Pui cessera. Entretemps, Préval avait terminé son mandat. Bien entendu, aucun suivi.
Affaire d’Etatz? Non, uniquement du président en exercice. Le propre de la lutte politique est d’effacer tout ce qui a zété fait par son prédecesseur .
Il y a eu aussi un ambassadeur des Etats-Unis en Haïti, brian Dean Curran, don’t le rêve était de faire arriver sur le marché américan les tuercules ( ignames, malangas etc) prouits chez nous, parce que l’étnt sans l’usage d’aucun produit chiique.
Quel succès cela aurait eu avec les magasins et restaurant “Bio
qo semutiplient aujourd’hui partout chez notre grand voisin.
Mais l’entreprise s’est révélée trop difficile même por le représentant du pays le plus puissant du continent.
Et uis, pus récemment un producteur de café bin de chez nous ( le Selecto0 a tenté de lancer cette marque à Miami, via une conférence dégustation au Little Haiti cultural Center. Nous lui souhaitons un sucès mais le café selecto ne se troue toujours pas sur les étagères des grands super marche de Miami. Sans dout impossible de détroner le Bustelo ( cubain).
Que nous manque t-il continue Haïti en Marche ?
D’abord le suivi. Mais pour cela il faut grouper nos moyens parce que c’est trop couteux dans une écnomie haïtienne par trop familiale .
Mais avant tout, il nous faut entreprendre une revolution socio –olitique pour separer l’économie de la politique, ce qui ne va pas de soi étant donné le lien secret qui les unit, bien sûr: la corruption.
Enfin u marketig énergique mais aussi persévérant et sutout une adresse permanets Avoir pignon sr rue dans le monde.
Vous voulez passer vos vacances au Pérou, ou au Mexique, il exise une seule adresse où tut se règle: visa, sites à visiter, transport etc…
Mais ça vous l’avez aussi à Port-au-Prince. Par contre vous voulez investir en Haïti. C’est autre chose. Où est l’antenne du CFI ( Cnseil de facilitation des investissements) haïtien sr la 2 èe Avenue NE à Little Haiti? Miami au omet où ce quartier occpe aujourd’hui une place de coix dans le développement de la métropole floridienne
AUCUNE PRESENCE DU IISTERE DU TOURISME HITIEN. PAS UN RESTAURANT QUI SE RESPETE NI UN MAGASI D’ALIMETS IO. RIEN I N C R O Y A B L E !
Alors que nous bénéficions d’u avantage inespéré: plus qu’une enseige un quartier portant nore nom TI AYITI. N nom charmat. Que dire de plus ?
NONl Bientôt nous viendrons visiter les stores doiicains ou jamazïcains exposant quelques croutes haïtiennes en guise d’oeuvre d’art !
Miami, Haiti en Marche 3 Mai 2018
LE NOUVELLISTE se penche SUR LA QUESTION D’ELECTRICITE avec cet article:
Electricité: des fournisseurs privés saluent la volonté de réforme du gouvernement
Il y a quelques jours, le ministre de l’Économie et des Finances, Jude Alix Patrick Salomon, avait confié au journal que Taïwan avait accordé un prêt d’environ 150 millions de dollars à Haïti. Le prêt devra être disponible prochainement. L’argent sera investi dans le secteur de l’énergie, « l’un des facteurs de production privilégiés.
L’État envisage aussi la construction de centrales électriques, a indiqué le MEF, qui met en avant les travaux de réhabilitation de centrales hydroélectriques. Jude Alix Patrick Salomon a une fois indiqué que la matrice énergique priorise les énergies renouvelables. « Nous allons de plus en plus vers une énergie prépayée », a insisté le grand argentier de la République, conscient que les subventions publiques à l’Ed’H constituent l’une, si ce n’est pas la première source de déficit public depuis un bail. Le choix des microréseaux connectés est priorisé parce que la construction d’un système intégré avec un réseau connectant le pays de bout en bout, très cher, coûterait entre 1,2 et 1,6 milliard de dollars américains, a fait savoir Jude Alix Patrick Salomon.
ET TERMINONS LA REVUE AVEC LE DOSSIER CULTURE:
Le nouveau ministre de la Culture et de la Communication, Guyler C. Delva, a annoncé des activités qu’il compte réaliser au cours de cet été.
C’est Le Nouvelliste qui en parle en précisant que :
Ces activités, selon lui, répondent à la nécessité de revaloriser la culture et l’histoire haïtiennes. Il s’agit entre autres de concert, de concours de danse, d’hommage à des figures de la culture et de réouverture de salles de spectacle. Déplorant le manque d’espaces de loisirs dans le pays, Delva annonce qu’à partir du 27 mai le kiosque Occide Jeanty recevra tous les dimanches des spectacles de danse, des concerts, des projections de films, etc.
Guyler C. Delva trouve inconcevable que le ciné Triomphe soit resté fermé. « Un pays ne peut pas accepter ce gaspillage. Il faut que cette salle fonctionne. Des millions de dollars ont été investis dans sa rénovation. Ces fonds appartiennent au pays », assène-t-il. Sans annoncer de date, le ministre promet que cette salle va bientôt rouvrir ses portes. « Mon cabinet y travaille activement. Cela sera possible avant même le début de l’été. Nous allons travailler avec la banque centrale et les autres entités qui sont concernées afin de trouver un modus operandi pour son fonctionnement et son entretien », a-t-il assuré au cours d’une conférence de presse au ministère de la Communication dont il est également titulaire.
Dans la même veine, le journaliste devenu ministre estime que la construction du tour 2004 au Champ de Mars doit être achevée. « Celle-ci n’appartient pas à un ancien président. On ne peut pas refuser d’achever le chantier parce qu’on a des problèmes avec le président qui avait démarré les travaux. Elle peut devenir un centre d’attraction pour des visiteurs », estime M. Delva.
Plus loin, le ministre a annoncé le projet de son ministère de rendre hommage au maestro Nemours Jean Baptiste, le fondateur du compas. Un buste du musicien sera érigé à la place Sainte-Anne, l’endroit où il a produit son premier concert. « Pour l’occasion, nous allons réaliser un grand concert avec des groupes de compas pour honorer sa mémoire », a-t-il fait savoir, sans donner une date précise. Dans cet esprit d’hommage, il a évoqué la nécessité de placer les effigies et les bustes des artistes ayant marqué la culture haïtienne sur la place des artistes. « Il faut honorer nos écrivains, nos chanteurs, nos peintres, etc. », estime-t-il. Le ministre a en outre annoncé la réalisation d’un festival d’été qui aura lieu dans plusieurs endroits du pays.
Avec le ministère du Tourisme, Guyler C. Delva promet de travailler à la mise en valeur des sites historiques. Dans la foulée, il a annoncé la tenue d’un « grand évènement » le 14 août prochain sur le site du Bois-Caïman. « Nous allons y ériger une statue de Boukman. Ce n’est pas possible qu’il n’y ait aucune représentation sur ce site historique », a fait savoir le ministre.
Au moment de faire ces annonces, le ministre était sur le point de se rendre au Canada. Il va prendre part au sommet des ministres de la Culture des Amériques qui se tiendra à Ottawa du 9 au 11 mai. « Les organisateurs ont beaucoup insisté pour qu’Haïti soit présent parce que nous représentons une grande puissance du point de vue culturel, littéraire et artistique », a-t-il fait savoir.
Revue de presse Vendredi 11 Mai 2018
Nous commençons la Revue e Presse aujourdhui avec cette dépêche de l’AHP, lAgence Hazïtienne de Presse:
Le Ministère de la Justice appelle les commissaires du gouvernement à « poursuivre les bandits et leurs complices », accusant la plupart des médias de se faire complices des bandits en leur donnant la parole: Salve de reactions.
En effet, dans une lettre portant la signature du nouveau ministre de la Justice et de la sécurité publique, Jean Roudy Aly, qui circule sur les réseaux sociaux, le Ministère de la justice a fait savoir que « la plupart des médias et journalistes s’amusent quasi quotidiennement à recevoir dans les émissions à libre tribune, des bandits notoires, activement recherchés par la police ».
« Qui pis est, ces bandits qui avouent leurs forfaits, tout en terrorisant la population, prennent le malin plaisir de proférer des menaces par voie de presse aux forces de l’ordre », indique le ministre qui croit que « ce faisant ces professionnels de la presse se font consciemment ou insconciemment complices des bandits qui sèment le deuil au sein des familles haïtiennes.
Après avoir informé avoir demandé aux chefs de parquets de sévir contre les bandits et leurs complices , à savoir les medas et les journalistes, le MJSP sollicite la collaboration de tous les journalistes, en évitant, dit-il, de tendre leurs micros à ces individus qui ne cessent de menacer la stabilité même de l’Etat.
Jusqu’à jeudi en fin de journée, les principales associations de directeurs de médias et de journalistes n’avaient pas reçu la lettre que le Ministère de la Justice affirme leur avoir envoyée.
Cette sortie du ministère de la Justice a provoqué une salve de réactions, dans un contexte lourd, marqué par la disparition depuis près de deux mois, du photo-journaliste Vladjimir Legagneur.
Le président de l’Association nationale des médias haïtiens (ANMH), Frantz Duval dit espérer qu’il ne s’agit que d’un excès de language de la part du ministre de la Justice.
Il affirme que l’ANMH n’a appris la position du ministre que par voie de presse et qu’il attend de recevoir officiellement la lettre du ministre pour que son association ait une position officielle.
L’association des médias indépendants d’Haïti (AMIH) promet aussi une réaction officielle. Toutefois, son président Georges Venel Remarais, fait savoir que l’AMIH ne saurait en aucun cas appuyer un media ou un journaliste qui se ferait clairement complice de bandits notoires et clairement identifiés comme tels.
Il estime cependant que le nouveau ministre de la justice est allé vite en besogne, en faisant des amalgames dans sa lettre : Il demande la collaboration des médias et des journalistes, pendant qu’il instruit les commissaires de les poursuivre, sans exposer ses preuves.
Il incrimine « la plupart des médias dans ses dénonciations, pendant qu’il affirme que c’est dans les émissions libre tribune que les journalistes donneraient quasi-quotidiennement la parole aux « bandits »
Alors qu’il n’y a qu’une infime partie des médiqas qui a une émission de ce genre.
M. Remarais appelle le Ministère de la Justice à être direct et à dire clairement son objectif, tout en promettant la collaboration de son organisation dans tout ce qui concerne le respect de la liberté de la presse et d’information et aussi de la déontologie du métier de journaliste.
L’ancien ministre de la communication, Ady Jean Gardy dénonce cette position du ministère de la justice et soutient que les journalistes ne font que leur travail en permettant à la population et aux autorités de prendre connaissance des aveux publics des personnes concernées.
Le président de la fédération de la presse haitienne se dit préoccupé par cette réaction du MJSP qu’il assimile à une sérieuse menace contre la liberté de la presse chèrement acquise.
Il invite toutefois les journalistes à éviter tout risque de complaisance vis-à-vis d’eventuels bandits et à toujours prendre leurs distance des actes répréhensibles.
NOUS POURSUIVONS LA REVUE avec cette info tirée du qotidien Le National et concernant encoe le Ministre de la Justice Jean Roudy Ally. Cette fois, le nouveau ministre se penche sur le fléau de la détentio préventive Prolongée.
Il cite des chiffres : « sur les 4177 prisonniers au sein du Pénitentier National, il y a 2000 en détention preeventive prolongée. Et sur cette quantité, il y en a 1.005 à avoir des problèmes de dossiers. Les audiences, avec ou sans assistance de jury, vont être multipliées dans toutes les juridictions du pays, annonce le ministre. Pour les personnes qui n’ont pas les moyens nécessaires pour payer les services d’un avocat, dans le cadre du programme d’assistance légale du ministère, ce problème sera résolu. La question de détention préventive prolongée, indique le ministre, est un effet non désiré du dysfonctionnement du système. C’est pourquoi le ministre compte adresser la question au niveau de la gouvernance judiciaire afin d’essayer d’apporter les correctives et des éléments de réponses nécessaires.
Concernant les zones de non-droit, le ministre a indiqué que la période de récréation est terminée. La Police, informe-t-il, a reçu les instructions nécessaires afin de pacifier ces zones au plus vite que possible. Une déclaration déjà faite par le directeur général de la Police nationale d’Haïti, Michel-Ange Gédéon, qui, dans un tweet, avait indiqué qu’un processus a été entamé par la PNH pour pacifier ces zones. Pourtant, les gangs armés de ces communautés ne cessent de semer la pagaille au niveau de ces localités, notamment au niveau de la 3e circonscription de Port-au-Prince, depuis plusieurs mois. Lundi dernier, dans un affrontement entre bandits armés à «Gran Ravin», un citoyen, chauffeur de taxi, s’est fait tuer.
Autre information à la une cette semaine, c’est le remplacement de Mme Susan pAGE à la tˆte de la MINUJUSTH.
Ce sont les autorités haïtiennes qui ont demandé son remplacement. Et ‘est Mamadou DIALLO qui est de retour à la tête de la mission .
Susan Page est maintenant conseillère special du secrétaire general de l’ONU sur l’état de droit. On se rappelle que l’américaine Susan Page avait fait des declarations concernant le dossier petro Caribe qi avaient choquee les utorités haïtiennes.
C’est suite à ces declarations que Haïti avait rappelé son représentant à l’ONU. Il s’agit de l’ambassadeur Denis régis . et que les Nations Unies avaient appelé en consultation Madame Susan Page.
Le Premier ministre haïtien avait alors declare de Haïti n’était ni une savane ni un Moulin , mais un pays souverain.
Madame Page n’est donc pas retournée à son poste.
Un coup d’oeil maintenant sur l’hebdomadaire Hauiti e Marche qui consacre sa preière page à Little Haiti: Encore une occasion rate…
On se souvient du premier discours adressé à la Diaspora haïtienne (expatriés) par un certain président élu nommé Aristide, le 7 février 1991, dans lequel il disait : ‘Bientôt nos petites embarcations feront route vers Miami chargées de mangues, de patates et d’ignames’ !
Bien entendu c’est un peu plus complexe que cela mais pas impossible.
Cependant on n’a rien fait. Comme si on attend que les choses se réalisent d’elles-mêmes. Par magie. Même au pays du vaudou qu’il faut un peu d’effort…
Haïti est le seul pays du continent qui n’a pas une seule enseigne sur le marché américain.
Ah oui, la mangue francisque. Mais que l’on voit de oins en moins à l’ouverture de la saison, début mai dans les stores PUBLIX de Dade cunty Nos voisins dominicains faisaient le maxuum pour nous dérober ce qui a été un marché captif pour Haïti pendant au ins deux décennies. C’est la même terre. Peut être y sont ils parvenus !
Il y a eu aussi l’expérience du café Haitian Bleu qui soudain s’imposait dans tous les foyers aéricainsk puis également eurpoéens et japonais et don’t l’arrivage était guetté comme le Père Noël.
C’est le temps où un certain président René Préval se piquait de relancer la production agricole haïtienne. On a mis tout le paquet. Ce sont les associations cféières natives. Directement du producteur au consommateur. Mais aussi à coups de grandes pages publiciairs dans le New York times ou dans Paris Match qui dit ieux !
Mais soudan l’arrivage du Haitian Bleu commence à prendre du retrd. Pui cessera. Entretemps, Préval avait terminé son mandat. Bien entendu, aucun suivi.
Affaire d’Etatz? Non, uniquement du président en exercice. Le propre de la lutte politique est d’effacer tout ce qui a zété fait par son prédecesseur .
Il y a eu aussi un ambassadeur des Etats-Unis en Haïti, brian Dean Curran, don’t le rêve était de faire arriver sur le marché américan les tuercules ( ignames, malangas etc) prouits chez nous, parce que l’étnt sans l’usage d’aucun produit chiique.
Quel succès cela aurait eu avec les magasins et restaurant “Bio
qo semutiplient aujourd’hui partout chez notre grand voisin.
Mais l’entreprise s’est révélée trop difficile même por le représentant du pays le plus puissant du continent.
Et uis, pus récemment un producteur de café bin de chez nous ( le Selecto0 a tenté de lancer cette marque à Miami, via une conférence dégustation au Little Haiti cultural Center. Nous lui souhaitons un sucès mais le café selecto ne se troue toujours pas sur les étagères des grands super marche de Miami. Sans dout impossible de détroner le Bustelo ( cubain).
Que nous manque t-il continue Haïti en Marche ?
D’abord le suivi. Mais pour cela il faut grouper nos moyens parce que c’est trop couteux dans une écnomie haïtienne par trop familiale .
Mais avant tout, il nous faut entreprendre une revolution socio –olitique pour separer l’économie de la politique, ce qui ne va pas de soi étant donné le lien secret qui les unit, bien sûr: la corruption.
Enfin u marketig énergique mais aussi persévérant et sutout une adresse permanets Avoir pignon sr rue dans le monde.
Vous voulez passer vos vacances au Pérou, ou au Mexique, il exise une seule adresse où tut se règle: visa, sites à visiter, transport etc…
Mais ça vous l’avez aussi à Port-au-Prince. Par contre vous voulez investir en Haïti. C’est autre chose. Où est l’antenne du CFI ( Cnseil de facilitation des investissements) haïtien sr la 2 èe Avenue NE à Little Haiti? Miami au omet où ce quartier occpe aujourd’hui une place de coix dans le développement de la métropole floridienne
AUCUNE PRESENCE DU IISTERE DU TOURISME HITIEN. PAS UN RESTAURANT QUI SE RESPETE NI UN MAGASI D’ALIMETS IO. RIEN I N C R O Y A B L E !
Alors que nous bénéficions d’u avantage inespéré: plus qu’une enseige un quartier portant nore nom TI AYITI. N nom charmat. Que dire de plus ?
NONl Bientôt nous viendrons visiter les stores doiicains ou jamazïcains exposant quelques croutes haïtiennes en guise d’oeuvre d’art !
Miami, Haiti en Marche 3 Mai 2018
LE NOUVELLISTE se penche SUR LA QUESTION D’ELECTRICITE avec cet article:
Electricité: des fournisseurs privés saluent la volonté de réforme du gouvernement
Il y a quelques jours, le ministre de l’Économie et des Finances, Jude Alix Patrick Salomon, avait confié au journal que Taïwan avait accordé un prêt d’environ 150 millions de dollars à Haïti. Le prêt devra être disponible prochainement. L’argent sera investi dans le secteur de l’énergie, « l’un des facteurs de production privilégiés.
L’État envisage aussi la construction de centrales électriques, a indiqué le MEF, qui met en avant les travaux de réhabilitation de centrales hydroélectriques. Jude Alix Patrick Salomon a une fois indiqué que la matrice énergique priorise les énergies renouvelables. « Nous allons de plus en plus vers une énergie prépayée », a insisté le grand argentier de la République, conscient que les subventions publiques à l’Ed’H constituent l’une, si ce n’est pas la première source de déficit public depuis un bail. Le choix des microréseaux connectés est priorisé parce que la construction d’un système intégré avec un réseau connectant le pays de bout en bout, très cher, coûterait entre 1,2 et 1,6 milliard de dollars américains, a fait savoir Jude Alix Patrick Salomon.
ET TERMINONS LA REVUE AVEC LE DOSSIER CULTURE:
Le nouveau ministre de la Culture et de la Communication, Guyler C. Delva, a annoncé des activités qu’il compte réaliser au cours de cet été.
C’est Le Nouvelliste qui en parle en précisant que :
Ces activités, selon lui, répondent à la nécessité de revaloriser la culture et l’histoire haïtiennes. Il s’agit entre autres de concert, de concours de danse, d’hommage à des figures de la culture et de réouverture de salles de spectacle. Déplorant le manque d’espaces de loisirs dans le pays, Delva annonce qu’à partir du 27 mai le kiosque Occide Jeanty recevra tous les dimanches des spectacles de danse, des concerts, des projections de films, etc.
Guyler C. Delva trouve inconcevable que le ciné Triomphe soit resté fermé. « Un pays ne peut pas accepter ce gaspillage. Il faut que cette salle fonctionne. Des millions de dollars ont été investis dans sa rénovation. Ces fonds appartiennent au pays », assène-t-il. Sans annoncer de date, le ministre promet que cette salle va bientôt rouvrir ses portes. « Mon cabinet y travaille activement. Cela sera possible avant même le début de l’été. Nous allons travailler avec la banque centrale et les autres entités qui sont concernées afin de trouver un modus operandi pour son fonctionnement et son entretien », a-t-il assuré au cours d’une conférence de presse au ministère de la Communication dont il est également titulaire.
Dans la même veine, le journaliste devenu ministre estime que la construction du tour 2004 au Champ de Mars doit être achevée. « Celle-ci n’appartient pas à un ancien président. On ne peut pas refuser d’achever le chantier parce qu’on a des problèmes avec le président qui avait démarré les travaux. Elle peut devenir un centre d’attraction pour des visiteurs », estime M. Delva.
Plus loin, le ministre a annoncé le projet de son ministère de rendre hommage au maestro Nemours Jean Baptiste, le fondateur du compas. Un buste du musicien sera érigé à la place Sainte-Anne, l’endroit où il a produit son premier concert. « Pour l’occasion, nous allons réaliser un grand concert avec des groupes de compas pour honorer sa mémoire », a-t-il fait savoir, sans donner une date précise. Dans cet esprit d’hommage, il a évoqué la nécessité de placer les effigies et les bustes des artistes ayant marqué la culture haïtienne sur la place des artistes. « Il faut honorer nos écrivains, nos chanteurs, nos peintres, etc. », estime-t-il. Le ministre a en outre annoncé la réalisation d’un festival d’été qui aura lieu dans plusieurs endroits du pays.
Avec le ministère du Tourisme, Guyler C. Delva promet de travailler à la mise en valeur des sites historiques. Dans la foulée, il a annoncé la tenue d’un « grand évènement » le 14 août prochain sur le site du Bois-Caïman. « Nous allons y ériger une statue de Boukman. Ce n’est pas possible qu’il n’y ait aucune représentation sur ce site historique », a fait savoir le ministre.
Au moment de faire ces annonces, le ministre était sur le point de se rendre au Canada. Il va prendre part au sommet des ministres de la Culture des Amériques qui se tiendra à Ottawa du 9 au 11 mai. « Les organisateurs ont beaucoup insisté pour qu’Haïti soit présent parce que nous représentons une grande puissance du point de vue culturel, littéraire et artistique », a-t-il fait savoir.
Plus de 256 mille signatures soutiennent la candidature de Lula au Prix Nobel de la Paix
Brasilia, 12 mai, (RHC).- Plus de 256 mille personnes ont signé jusqu'à présent la pétition demandant l'octroi du Prix Nobel de la Paix à l'ex-président brésilien, Luiz Inacio Da Silva Lula, prisonnier politique à Curitiba, une ville du Sud du Brésil.
C'est l'artiste Argentin, Adolfo Pérez Esquivel, Prix Nobel de la Paix en 1980 pour sa défense des droits humains en Argentine qui a lancé la campagne le mois dernier, peu après l'emprisonnement de l'ex-président Lula, accusé sans preuve de corruption passive et de blanchiment d'argent.
La collecte de signatures est conçue comme une manière d'exprimer la solidarité que mérite Lula, en tête des intentions de vote pour les élections présidentielles du mois d'octobre.
Dans une lettre adressée au Comité norvégien du Prix Nobel, Adolfo Pérez Esquivel a souligné le combat contre la faim et la pauvreté livré par le gouvernement Lula de 2003 à 2010.
«Le gouvernement de Lula, souligne Adolfo Pérez Esquivel dans sa lettre, a été une construction démocratique et participative avec des moyens non violents qui a élevé le niveau de vie de la population et donné des espoirs aux secteurs les plus démunis.»
Edité par Francisco Rodríguez Aranega
source: http://www.radiohc.cu/fr/noticias/internacionales/162148-plus-de-256-mille-signatures-soutiennent-la-candidature-de-lula-au-prix-nobel-de-la-paix
Entre la Chine et Taïwan, Haïti fait le choix de la continuité…
Publié le 2018-05-21 | Le Nouvelliste
Pour le moment, Haïti maintient ses relations diplomatiques avec la République populaire de Chine (Taïwan). Répondant à un tweet du sénateur de la Floride Marco Rubio qui semble prévenir Haïti de rompre ses relations avec Taïwan au profit de la Chine, le secrétaire général du Conseil des ministres, Rénald Lubérice, a déclaré que le pays ne décide de sa politique étrangère sur la base des menaces, encore moins des rumeurs.
« Je ne crois pas qu’Haïti fera la même erreur que la République dominicaine: couper les liens avec Taïwan parce que la Chine lui a promis de l'argent… », lit-on sur le compte Twitter du sénateur de la Floride. Selon Marco Rubio, une telle décision aurait des dommages réels et immédiats sur les relations entre les États-Unis et la République d’Haïti.
« C’est absurde », a rétorqué le secrétaire général du Conseil des ministres, là où les plus grandes décisions de l’État se prennent. Selon Rénald Lubérice, « la politique étrangère d’Haïti est dictée par ses seuls intérêts nationaux. Elle est décidée par elle seule. Chacun ferait mieux de commenter avec respect et modestie les affaires concernant un État souverain. »
Rénald Lubérice a ajouté qu’Haïti « gardera toujours le droit d’orienter de manière stratégique ses relations extérieures, s’il le souhaite ». « Cela veut dire qu’Haïti ne décide de sa politique étrangère sur la base des menaces, encore moins des rumeurs », a soutenu le secrétaire général du Conseil des ministres, soulignant que le pays a déjà exprimé publiquement son choix de la continuité dans cette région du monde, en matière de politique étrangère.
« On a choisi la continuité, c’est-à-dire le privilège de nos intérêts nationaux », a-t-il martelé dans une interview accordée lundi au Nouvelliste.
Abondant dans le même sens, le conseiller spécial du président de la République, Guichard Doré, a fait savoir au journal que le chef de l’État se rend ce week-end à Taïwan.
« Nous avons des relations avec Taïwan et un bureau commercial à Pékin dans la grande Chine. Haïti définit ses relations en fonction de ses intérêts », a-t-il avancé, soulignant qu’il ne revient pas à un sénateur étranger de définir les relations diplomatiques du pays.
La République populaire de Chine (Taïwan) accorde un prêt d’environ 150 millions de dollars américains à Haïti. Le prêt devra être disponible prochainement. L’argent sera investi dans le secteur de l’énergie, « l’un des secteurs de production privilégiés », avait confié au journal le ministre de l’Économie et des Finances, Jude Alix Patrick Salomon, le vendredi le 27 avril 2018.
Parallèlement de l’autre côté de l’île, la République dominicaine a rompu ses relations avec Taïwan au profit de la Chine. Le conseiller juridique du pouvoir exécutif dominicain, Flavio Darío Espinal, a fait savoir que « la décision de prendre cette mesure a été soigneusement examinée et consultée avec les grands secteurs politiques et économiques du pays, en tenant compte principalement des besoins, du potentiel et des perspectives d'avenir pour le peuple dominicain ».
La Chine aurait promis 3,1 milliards de dollars d'investissement, d'aide financière et de prêts à faible taux d'intérêt à la République dominicaine. Ces promesses passent par 400 millions de dollars pour une nouvelle autoroute, 1,6 milliard de dollars pour des projets d'infrastructures et 300 millions de dollars pour une nouvelle centrale au gaz naturel.
P-au-P, 30 avril 2018 [AlterPresse] --- Le président Jovenel Moïse réitère sa promesse de doter le pays d’électricité publique 24h/24, lors d’une conférence de presse, lundi 30 avril 2018, à l’occasion du premier anniversaire du lancement officiel de la Caravane du Changement.
Le 18 juin 2017, le Chef de l’État avait annoncé devant la diaspora en Floride son intention de réaliser dans les 18 à 24 mois prochains un véritable réseau électrique en Haïti.
Ce réseau devrait comprendre 600 kilomètres de réseau interconnecté aux 16 grandes villes et à dix départements.
Le chef de l’Etat projette d’installer des usines d’asphalte et de construire 1,500 salles de classes en vue de permettre, dit-il, aux enfants d’aller à l’école.
Plus de 10% d’enfants ne vont pas à l’école, déplore-t-il.
Aucun pays ne peut prétendre se développer sans la mise en place d’infrastructures notamment routières, souligne Jovenel Moïse, rappelant que la Caravane du changement devra répondre aux besoins du peuple.
Lancée officiellement depuis le 1er mai dernier dans le département de l’Artibonite, la “caravane du changement” viserait à réhabiliter les infrastructures dans plusieurs régions et à ¨booster¨ la production agricole.
Cette opération est toutefois critiquée par certains secteurs politiques du fait qu´elle est conduite, selon eux, de façon opaque et sans consultation avec notamment les organisations paysannes, les producteurs et agriculteurs.
REVUE DE LA SEMAINE
La grande bataille pour le poste de secrétaire général de l'OIF est enclenchée avec la candidature de la ministre des affaires étrangères du Rwanda à ce poste.
Elle s’appelle: Louise Mushikiwobo
Le Canada va t'il continuer a soutenir la candidature de Michaëlle Jean.
L'Afrique va t'elle s'aligner en bloc derrière la candidate du Rwanda qui surprend tous les observateurs de la scène francophone.
Ou s'agit'il d'un coup double de Paris qui feint d'appuyer le Rwanda afin de "couler" la candidate du Canada ( Michaëlle Jean) et permettre ainsi l'émergence in extremis d'un candidat issu d'un pays africain qui ne serait pas le Rwanda
On pense à un candidat qui serait issu de l‘un de ces pays très amis de la France :
(Senegal, Benin, Mali etc) tous vraiment proches de Paris.
On se rappelle que Paris n'était pas très enthousiaste en novembre 2013 à l'élection de Mme Jean comme Secrétaire Géneérale de la Francophonie.
Ah les mystères de la haute diplomatie ! ! !
Il n‘est que d’attendre.
Mardi, le 22 Mai, La Première Dame, Martine Moïse aaccueillit la Reine d'Espagne en visite en Haïti
Visite de la Première Dame et de la Reine d’Espagne à Cité Soleil.
Elles ont visité les installations de l’école Sainte Louise de Marillac-Filles de la Charité de
Saint-Louis dans laquelle sont hébergés un laboratoire et une salle de vaccination.
Elles ont aussi rencontré les femmes bénéficiaires du projet de nutrition pour enfants associé à l’école.
Avant le depart des visiteuses, un groupe d’enfants vêtus aux couleurs du bicolore national
ont chanté et dansé sur des airs puisés de notre folklore.
Continuons la Revue avcc une question
Elle est posée par Haiti Libre:
QUE VA FAIRE JOVENEL MOISE A TAIWAN ?
La rupture des relations diplomatiques entre la République Dominicaine et Taïwan,
a rapproché Taïwan d’Haïti, dont le gouvernement a réaffirmé sa loyauté et confirmé que
le Président, Jovenel Moïse, se rendra àTaïwan samedi 26 mai 2018,
après la visite du Chancelier Rodrigue au début du mois .
Si la formule convenue veut que ce voyage ait pour objectif de réaffirmer la loyauté d’Haïti
et renforcer les liens diplomatiques entre les deux pays, l’objet de ce voyage selon
les récentes déclarations de Yang Cheng-ta, ancien Ambassadeur de Taïwan en Haïti,
serait lié à un accord financier notamment un prêt à faible taux d’intérêt de
150 millions de dollars pour le secteur de l’énergie
Il souligne qu’Haïti pourrait en cette occasion formuler plusieurs demandes de prêt que Taïwan
ne pourra peut-être pas accorder « Il va sans dire que des demandes seront faites
lors de la prochaine visite de Moise, ou peut-être que les deux parties ont elles
déjà conclu un accord, mais dans les deux cas, le montant d'argent impliqué
pourrait être très important » a déclaré Yang.
Lin Yu-fang, l’ancien Député du Parti nationaliste chinois (KMT), responsable de la Division
des Affaires Étrangères et de la Défense de la National Policy Foundation, lors
d'une conférence de presse à Taipei se montre moins optimiste sur l’avenir des relations
entre les deux pays, estimant qu’après la rupture des relations diplomatiques du Panama
et de la République Dominicaine, Haïti qui a déjà un bureau de la Chine sur son territoire,
pourrait faire de même, une hypothèse rejetée par le Ministre des Affaires étrangères J
Joseph Wu qui souligne que Taiwan et Haïti entretiennent des relations depuis 1956
et collaborent étroitement pour promouvoir divers programmes de coopération.
Rappelons que le Ministre de la Communication Guyler C. Delva avait déclaré après l’annonce
de la rupture dominicaine « Chaque pays est dirigé d'une manière ou d'une autre, mais
pour l'instant, c'est avec Taïwan qu'Haïti entretient des relations diplomatiques »
Faisant écho au point de vue de Lin, l'ancien Ambassadeur de Taïwan en Haïti, Yang Cheng-ta reconnait
que la rupture des liens de la République Dominicaine avec Taiwan pourrait probablement
influencer Haïti.
POURSUIVONS LA REVUE AVEC CETTE INFORMATION CONCERNANT CETTE IMPORTANTE SAISIE DE DROGUE EN PROVENANCE D’HAITI.
C’est encore une dépêche d’Haïti Libre.
Voici ce qu’elle dit:
Depuis le dernier renforcement de la surveillance de la frontière avec Haïti afin de lutter contre la migration illégale, le trafic de drogue et de marchandises de contrebande en provenance d'Haïti, le dispositif dominicain s’avère de plus en plus efficace.
Lors d’une vingtaine d'opérations menées entre le 8 et le 21 mai à la frontière terrestre dans les provinces frontalières de Dajabón, Pedernales, San Juan de la Maguana et Elías Piña, l'armée dominicaine a saisie 15 tonnes d'ail, 317 livres (143.7 kg) de marijuana, 4,800 bouteilles de rhum, 245 bouteilles de whisky, 105,000 paquets de cigarettes, 1,209 tubes de dentifrice, 44,567 cubes de poulet, 1,248 pots de crème pour les soins du corps et 2,670 boites de lait en poudre entre autres marchandises de contrebande introduites illégalement sur le territoire dominicain depuis Haïti.
Selon les autorités militaires à la frontière, les trafiquants ont été arrêtés alors qu’ils tentaient d’éviter les contrôles douaniers et le paiement des taxes ainsi que les points de contrôles phytosanitaires.
Les autorités ont également détruit sur le territoire dominicain 10 fours à d'environ 25 sacs chacun et arrêté 4 ressortissants haïtiens sans papiers liés à ce trafic illégal.
AUTRE INFORMATION LIEE AU MEME DOSSIER:
Le corps inanimé du jeune garçon enlevé, retrouvé :
Le corps inanimé du troisième jeune garçon enlevé par le hougan meurtrier Génet André alias « Lifèt » dans la nuit de lundi à mardi 22 mai à Déchan, une localité de la première section communale de Grand-Goâve a été finalement retrouvé dans la zone d'Icondo au niveau de la route nationale #2 (Grand-Goâve).
Entre temps, le Pasteur Frantz, blessé par balles par le Hougan est actuellement hospitalisé et il reçoit des soins.
DANS L’INTERNATIONAL Donald Trump annonce l'annulation du sommet avec le leader nord-coréen Kim Jong-un
C'est par une lettre que le président américain Donald Trump a décidé d'annuler le sommet prévu à Singapour avec le dirigeant nord-coréen Kim Jong-un. Dans ce courrier, adressé jeudi 24 mai Kim Jong-un, Donald Trump dénonce "la colère" et "l'hostilité" de la Corée du Nord. L'ancien homme d'affaires y évoque aussi "la puissance" de l'arsenal nucléaire américain.
"J'avais vraiment hâte d'être là avec vous", écrit Donald Trump à Kim Jong-un. "Malheureusement, compte tenu de l'immense colère et de l'hostilité affichée dans vos déclarations les plus récentes, je pense qu'il est inopportun, à ce stade, d'avoir cette réunion prévue depuis longtemps."
Le sommet entre Donald Trump et Kim Jong-un a été annulé car les conditions n'étaient pas réunies pour obtenir "un résultat positif", a également déclaré le secrétaire d'État américain, Mike Pompeo. "Je ne pense pas que nous étions en mesure de croire qu'il pouvait y avoir un résultat positif", a-t-il dit devant une commission parlementaire. Lors de travaux préparatoires ces derniers jours, "nous n'avons reçu aucune réponse à nos demandes" de la part des autorités nord-coréennes, a-t-il regretté.
Le secrétaire général de l'ONU, Antonio Guterres, a rapidement réagi à cette lettre et à cette annulation. "Je suis profondément préoccupé (...) et j'exhorte les parties à poursuivre leur dialogue pour trouver une voie vers une dénucléarisation pacifique et vérifiable de la péninsule coréenne", a-t-il déclaré, lors de la présentation de son agenda pour le désarmement à Genève.
Le sommet était initialement prévu le 12 juin à Singapour entre Donald Trump et Kim Jong-un. La Corée du Nord avait semé le doute la semaine dernière sur sa tenue, menaçant de reconsidérer sa participation si les États-Unis continuent d'insister sur une dénucléarisation unilatérale de la République populaire démocratique de Corée. (HPN)
SOCIETE: un autre scandale impliquant le PHTK après la Sextape
Moins d’une semaine après la sextape qui fragilise le coordonnateur de l’office nationale de la migration Eudes Lajoie, la fondation “Je klere” en met une nouvelle couche. Sa directrice exécutive, Marie-Yolene Gille, affirme que l’activiste du parti haïtien tèt kale, distribue régulièrement des enveloppes aux militants du PHTK après avoir vu le budget de l’ONM passer de 61 à 114.9 millions de gourdes.
Marie Yolene Gilles, la directrice exécutive de la fondation “Je Klere”, une nouvelle organisation de la société civile qui se donne pour mission d’accompagner et d’encadrer la population, a révélé ce mercredi, que le coordonnateur de l’office nationale de la migration, Eudes Lajoie, distribue régulièrement des enveloppes contenant de l’argent cash à des militants du parti au pouvoir, le PHTK.
Ce sont des employés de l’institution qui se seraient plaints auprès de la fondation, à en croire madame Gilles qui affirme avoir rencontré, à ce propos, le principal concerné, le numéro un de l’ONM, Eudes Lajoie, fragilisé par la publication sur internet d’une video dans laquelle on le voit se livrer à une séance de masturbation.
Le coordonnateur Lajoie a confirmé avoir donné en décembre dernier, des enveloppes à environ 380 militants du parti de Jovenel Moise, a rapporté la militante des droits humains qui affirme que, selon les employés de l’ONM, ce genre d’opération est réalisé à plusieurs reprises.
M. Lajoie disposerait, en vertu d’une nette augmentation du budget de l’ONM, d’une enveloppe bien garni, pour pouvoir “gérer” les militants du parti au pouvoir. Un budget qui est passé de 61 à près de 115 millions de gourdes.
Madame Gilles affirme que la fondation compte s’entretenir avec les autorités compétentes au sujet de la crise qui secoue l’office nationale de la migration et qui concerne non seulement la sextape de M. Lajoie mais également les griefs des employés de l’institution qui reclament de meilleures conditions de travail. (HPN)
L’Adih et le gouvernement condamnent des actes d’agressions contre des usines
L’Association des industries d’Haïti (Adih) dénonce des actes d’agressions, survenus le lundi 21 mai, contre les locaux de la Société nationale des parcs industriels (Sonapi).
Ces actes mettant en danger la vie de plusieurs citoyens seraient perpétrés par des syndicats d’ouvriers qui organisaient une marche pour revendiquer 1 000 gourdes de salaire minimum, fait savoir l’Adih, dans une note de presse en date du 23 mai,
Ces individus "mal intentionnés" auraient pénétré dans une usine appartenant à des investisseurs coréens, précise-t-elle.
Elle pointe du doigt certains membres du syndicat des ouvriers du textile et de l’habillement (Sota-Bo) qui auraient été vus, selon elle, entrain de forcer d’autres ouvriers à laisser leur travail pour aller manifester.
Ces membres auraient escaladé et brisé les clôtures des usines avoisinantes pour forcer les ouvriers à sortir dans l’idée de faire réussir une marche à l’extérieur du Parc, rapporte l’Adih.
Ce genre de situation risque, dit-elle, de provoquer un arrêt des élans d’investissement et enfoncer davantage le pays dans la misère et la perte d’emplois.
Toute personne qui entame une grève illégale et qui utilise la pression et la violence pour exiger d’autres ouvriers à laisser leur espace de travail, les individus, syndiqués ou pas, qui violent les lois régissant les contrats de travail, sont légalement susceptibles de renvoi, prévient l’association, tout en disant respecter le droit à l’association et à la liberté syndicale.