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La dépouille mortelle de Monseigneur François Gayot arrivera à Port-au-Prince le mardi 28 Décembre…

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Catégorie : Les Toutes Dernières
Création : 27 décembre 2010
La dépouille mortelle de Monseigneur François Gayot arrivera à Port-au-Prince le mardi 28 Décembre…

La dépouille mortelle de Mgr François Gayot sera accueillie en Haïti au cours de la journée du 28 Décembre 2010.

Monseigneur François Gayot se trouvait à Rome au moment de son décès. Il participait à une rencontre de la Commission Internationale de la Migrations où il représentait Haïti, quand il a été pris d'un malaise et mourrait peu de temps après.
Archevêque du Nord, Monseigneur François Gayot avait été Président de la conférence Episcopale de 1992 à 1998.
Il vivait depuis sa retraite à Port-au-Prince.

C’est le 4 novembre 2003 qu’il avait été déchargé de ses responsabilités épiscopales.

La Mission de l’OEA commence le recomptage des votes

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Catégorie : Les Toutes Dernières
Création : 29 décembre 2010


Cette mission se compose de 6 spécialistes et vient de recevoir des autorité haïtiennes l’autorisation de verifier toutes les informations concenant le scrutiny du 28 Novembre dernier. En effet, les autorités haïtiennes ont accepté lundi soir les conditions posées par l'organisation hémisphérique en ce qui a trait à un accès illimité à l'information et au bâtiment.

Les experts devront soumettre leurs conclusions au gouvernement haïtien et au conseil permanent de l'OEA. " Nous voulons être exhaustifs, nous voulons assurer une vérification de qualifié tout en étant conscient des contraintes du temps", affirme M. Ramdin. L'envergure de la mission diffère complètement de celle annoncée par les responsables du CEP. Les autorités électorales haïtiennes avaient indiqué que les experts pourraient boucler leur tache au bout de 72 heures.

Des sources proches de l'OEA indiquent que les experts pourront également s'entretenir avec des chefs de partis politiques, des candidats à la présidence, des dirigeants d'organisations non gouvernementales qui ont participé au processus d'observation des élections, ainsi qu'avec d'autres intervenants importants dans le processus.

Le représentant spécial de l’OEA en Haïti renvoyé , suite à ses fracassantes déclarations.

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Création : 29 décembre 2010


Et surtout des déclarations qui dérangent, puisque Ricardo Seitenfus a prononcé des propos acerbes sur l’action contre-productive de la communauté internationale en Haïti.
Ces déclarations ont été faites au journal belge Le Temps et ont provoqué un véritable remous au sein de l’OEA qui n’a pas tardé à convoquer son représentant en Haïti pour certaines explications. Les critiques ont également visé la présence en Haïti des casques bleus qui sont là pour “ stabiliser” ce qui n’a pas besoin de l’être, puisque Haïti a surtout besoin d’être reconstruit.
L’ancien Président cubain Fidel Castro a pris mardi la défense de Ricardo Seitenfus en qualifiant de "vérités lapidaires" les propos du diplomate brésilien démis samedi dernier de ses fonctions de Représentant spécial de l’OEA en Haïti .
"On peut être ou ne pas être d’accord avec chacun des propos du brésilien Ricardo Seitenfus, mais il est indéniable qu’il a dit des vérités lapidaires dans ses réponses", relève le "Lìder Màximo" dans un article diffusé par les médias locaux dont le quotidien Granma, organe officiel du parti communiste cubain.
L’ambassadeur Seitenfus avait ouvertement remis en question la présence de la Mission de stabilisation de l’ONU (MINUSTAH), "non adaptée au contexte haïtien" et dénoncé les graves incohérences de la politique des partenaires traditionnels d’Haïti incapables d’appréhender les spécificités et l’identité culturelle du pays.
L’OEA a mis fin à ses services deux mois avant la fin de son mandat.

Le cholera: la question des excréments

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Création : 29 décembre 2010


L’idée de fournir de l’eau potable à tous les Haïtiens est cruciale pour combattre le choléra et les maladies hydriques, mais à l’autre extrémité de la consommation humaine, il y a un élément tout aussi important.
La plupart des sources d’eau en Haïti sont contaminées – les puits, les sources et certaines nappes phréatiques – et la raison est claire. Elles sont contaminées par la pollution agricole, le fumier animal et les excréments humains.
Les premiers Haïtiens à avoir contracté le choléra vivaient ou travaillaient le long d’une rivière à proximité de la base de l’ONU, d’où les excréments des soldats sont soupçonnés de s’être infiltrés dans l’eau dont la population s’abreuve ou se sert pour cuisiner et se laver.
« Nous nous concentrons actuellement sur l’eau, car nous pouvons la traiter assez rapidement, mais dans les deuxième et troisième phases de notre Stratégie Nationale de Réponses à l’Épidémie de Choléra, nous allons nous concentrer davantage sur la gestion des excréments et la construction de latrines », annonçait Pierre-Yves Rochat, responsable des programmes ruraux de la nouvelle agence, la Direction Nationale de l’Eau Potable et de l’Assainissement (DINEPA), dans une entrevue accordée à Ayiti Kale Je.

Le contrôle inexistant de l’eau que nous buvons (Source : Le Nouvelliste)

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Création : 29 décembre 2010


Il n'existe à l'heure actuelle aucune norme pour ouvrir une entreprise de fourniture d'eau potable. On peut même se passer de l'Etat haïtien qui, selon toute vraisemblance, n'a aucun regard sur le secteur. Il est même inutile de s'adresser à la Direction du Contrôle de qualité et de la Protection du consommateur du ministère du Commerce et de l'Industrie (MCI) pour avoir la liste d'entreprises spécialisées dans la vente de l'eau potable.

Seules 26 entreprises de Port-au-Prince figurent sur une liste dressée depuis 2006 par le ministère du Commerce via sa Direction du Contrôle de qualité. Parmi les entreprises répertoriées, la plupart n'ont aucune adresse, ni un numéro de téléphone. Seules deux d'entre elles avaient à l'époque une carte d'identité professionnelle (CIP). « Nous avons dû suivre des camions pour repérer l'adresse de certaines compagnies », a déclaré Michèle B. Paultre, directrice adjointe de la Direction du Contrôle de qualité du MCI.

Pourtant, lors d'une tentative de régulation du secteur de l'eau potable suite à une étude gardée confidentielle, le Laboratoire vétérinaire et de contrôle de qualité de Tamarinier, communément appelé Laboratoire de Tamarinier, avait dénombré une centaine d'entreprises de vente d'eau potable rien que dans la zone métropolitaine de Port-au-Prince. « Des tests de laboratoire révélaient à l'époque que 80% de cette eau mise en sachets ou en bouteilles représentaient une menace pour la santé des consommateurs », a-t-on appris auprès d'un technicien de l'institution.

Si quelque chose a changé depuis 2000, ce n'est pas, sans doute, pour le meilleur. Les entreprises de vente d'eau potable continuent de fonctionner sans aucun contrôle. « Tout dépend de la bonne volonté des investisseurs », a commenté Gaétan Barrau, président directeur général de la Culligan, entreprise spécialisée et leader dans la vente de l'eau potable depuis des décénies.
  1. Les funérailles de Monseigneur François Gayot au Cap Haïtien.
  2. Gonaïves: commémoration du 207ème anniversaire de l’indépendance d’Haïti
  3. Comment eviter l'apparition de nouvelles epidemies en Haiti...
  4. Insécurité à Martissant

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