Nous avons appris avec beaucoup de peine ll'accablante nouvelle d'un ami très cher de notre hebdomadaire, Joël Vorbe qui depuis l'existence du journal n'a jamais cessé de ous prodiguer des mots d'encouragement. Joël est mort au Mont Sinai Hospital, peu de temps après une très grave opération cardiaque. Il laisse dans la douleur toute une famille éplorée et durement affectée, mais aussi de nombreux parents, amis sans oublier les clients de la Pâtisserie Marie Beliard qui connue comme l'une des meilleure pâtisserie de la place. La Fédération Haïtienne de Football à la douleur d'annoncer la mort, hier à Miami, de Monsieur Joël VORBE, ancien joueur du Violette Athlétique Club, Père de l'ancien International Sébastien Vorbe et surtout Frère de la légende du football National, Phi1lippe Vorbe, de l'Ex-International Edouard "Pepe" Vorbe, oncle de l'International Fabien Vorbe, fils de feu l'Ingénieur Jean Vorbe, Président de la FHF qui a conduit la sélection Nationale lors de l'historique qualification d'Haïti à la coupe du Monde 1974. C'est surtout pour le Violette Athlétique CLUB un coup terrible car Joël et son frère Philippe Vorbe ont été les plus grands philanthropes du Vieux Tigre et de nombreuses institutions engagées dans les activités du football dont les sélections nationales. Joël était un bon pour les pauvres, les sportifs, les gens de toute condition un "bon haïtien, un grand haïtien", un homme au grand cœur" qui va laisser dans l'affliction des centaines de familles. La FHF salue donc la mémoire de cet éminent sportif et prie sa famille éprouvée, sa Mère, Mme Jean Vorbe, ses frères et sœurs, Jean Marie, Philippe, Charles, Dominique, Edouard, Edwige, Yamileh, Yacinthe, Marie Marguerite, sans oublier ses quatre enfants, sa fille et les trois garçons Dimitri, Pacha et Sébastien. Joël Vorbe meurt trois an après son frère ainé Réginald. Les funérailles de Joël auront lieu le Lundi 24 Jaà nvier l'Eglise St Pierre de Pétion Ville. `
Le gouvernement américain a recommandé jeudi à ses citoyens d'éviter de voyager en Haïtipour diverses raisons entre autres la delinquance, l’épidémie de choléra et et les troubles violents et frequents enregistrés dans la capitale, Port-au-Prince.
Dans une note citée par le journal dominicain, La Republica, le Département d'Etat exhorte les citoyens américains à éviter tout voyage non esentiel en Haïti à moins que le voyage beneficie du plein appui d'organisations disposar d'infrastructures solides, de bons moyens d'évacuations et de syst`emes de soins medicaux.
Les americains qui ont voyagé en haïti sans de tels soutiens, se sont retrouvésen danger, indique encore le communiqué, ajoutant que le nombre ds victimes d'actes violents dont des homicides et les séquestrations a augmenté dans la capitale et que ces derniers temps, des voyageurs arrivés des Etats Unis se font attaquer ou voler peu après avoir quitté l’Aéroport Toussaint Louverture..
Le gouvernement américain a encore fait savoir que personne n'est à l'abri d'enlèvements, quelle que soit sa profession, sa nationalité, sa race, son sexe ou son âge, indique la note du département d’Etat.
Cette note d'ajouter que les autorités haïtiennes ont une capacité limitée pour dissuader les criminels et pour enquêter sur les crimes commis dans le pays.
Parallèlement, les autorités de l'immigration américaine ont rapatrié jeudi un premier groupe d’Haïtiens-américains depuis le tremblement de terre du 12 janvier 2010.
Il s’agit de 26 individusqui ont été condamnés pour des crimes commis aux Etats Unis et d’un autre qui avait été acquitté en 2007.
Ces déportations qui constituent la première vague post-séisme, ont vite été critiquées par des membres de la communauté haïtiano-américaine soutenant qu’Haïti fait face actuellement à unesiuation très difficile.
La directrice exécutive de l’organisation des femmes haïtiennes de Miami, Marleine Bastien a jugé « inhumaine et scandaleuse » la reprise des déportations en Haïti.
Lyglenson Lemorin, acquitté en 2007 dans une affaire de complot pour détruire la Sears Tower a Chicago, figure parmi les déportés. Selon les autorités américaines, Lemorin serait une menace pour la sécurité nationale. Cinq autres personnes ont été condamnées dans cette affaire.
La déportation de Lemorin est une preuve de l’injustice inhérente au système d'immigration aux Etats Unis, selon son avocat Charles H. Kuck qui soutient qu’aucun innocent ne devrait être expulsé.
Dans un communiqué, la porte-parole de l’Immigration américaine (US Immigration and Customs Enfoncement), Barbara Gonzalez, a déclaré que ces rapatriements s’inscrivent dans le cadre de mesures visant à éloigner des étrangers qui constituent une menace pour la sécurité publique.
Et les déportations devraient se poursuivre, selon Mme Gonzales.
Le président haïtien René Préval accompagné du Premier ministre Jean-Max Bellerive, a renconré samedi en République Dominicaine son homologue Leonel Fernandez pour évoquer la crise politique en Haïti.
M. Préval est arrivé à Santo Domingo en début d’après-midi à bord d’un hélicoptère dominicain.
Selon le journal Listin Diaro, les deux présidents se sont entretenus sur la crise politique, le retour de Duvalier et ont également fait le point sur le choléra qui touche les deux pays.
"Nous avons parlé de la transition politique, de l’échéance du 7 février et étudier les écueils à surmonter pour éviter un vide politique afin d’assurer la stabilité en Haïti" a déclaré le président Fernandez à l’issue de cette rencontre.
De son coté, le président haïtien a indiqué qu’il était venu pour partager des informations avec son homologue dominicain avec qui il est souvent en contact téléphonique.
"Nous avons discuté de la situation en Haïti et les défis auxquelles le pays fait face", a déclaré M. Préval.
En ce qui concerne la présence en Haïti de l'ancien dictateur Jean-Claude Duvalier, M. Préval a informé que Duvalier n’est pas un prisonnier politique. "Il vit dans une résidence surveillée, mais il peut se déplacer sans aucun problème". < Précédent Suivant >
Le président haïtien René Préval accompagné du Premier ministre Jean-Max Bellerive, s’est réuni samedi en République Dominicaine avec son homologue Leonel Fernandez pour évoquer la crise politique en Haïti.
M. Préval était arrivé de manière inattendue à Santo Domingo en début d’après-midi à bord d’un hélicoptère dominicain.
Selon le journal Listin Diaro, les deux présidents se sont entretenus sur la crise politique, le retour de Duvalier et ont également fait le point sur le choléra qui touche les deux pays.
"Nous avons parlé de la transition politique, de l’échéance du 7 février et étudier les écueils à surmonter pour éviter un vide politique afin d’assurer la stabilité en Haïti" a déclaré le président Fernandez à l’issue de cette rencontre.
De son coté, le président haïtien a indiqué qu’il était venu pour partager des informations avec son homologue dominicain avec qui il est souvent en contact téléphonique.
"Nous avons discuté de la situation en Haïti et les défis auxquelles le pays fait face", a déclaré M. Préval.
En ce qui concerne la présence en Haïti de l'ancien dictateur Jean-Claude Duvalier, M. Préval a informé que Duvalier n’est pas un prisonnier politique. "Il vit dans une résidence surveillée, mais il peut se déplacer sans aucun problème". < Précédent Suivant >
L’ancien dictateur haïtien Jean-Claude Duvalier a plaidé en faveur de la réconciliation nationale tout en exprimant sa tristesse pour les victimes de son gouvernement et en présentant ses sympathies à ses partisans pourchassés à sa chute en février 1986.
Lors de ses premières déclarations à la presse après son retour le 16 janvier dernier, Duvalier a souhaité que « la cloche de la réconciliation nationale puisse résonner dans tous les cœurs » en vue de la « renaissance d’Haïti », alors que l’ex tyran est poursuivi pour crimes contre l’humanité, détournements de fonds et corruption.
Dans la résidence privée de Montagne Noire (périphérie est) où il a pris logement la veille après avoir laissé l’hôtel où il était hébergé depuis dimanche, Duvalier a exprimé sa « profonde tristesse » à l’endroit de ses « compatriotes qui se reconnaissent à juste titre d’avoir été victimes » durant son régime.
Des citoyens continuent de porter plaintes contre l’ancien président à vie, qui doit rester à la disposition de la justice et qui est sous le coup d’une interdiction de départ.
« Je m’attendais à toute sorte de persécutions », déclare Duvalier qui s’exclame : « peu importe le prix à payer ».
Jean-Claude Duvalier présente ses « sympathies » à ses « millions de partisans » qui ont été pourchassés après son « départ volontaire » du pays le 7 février 1986 « afin d’éviter un bain de sang et de faciliter un dénouement de la crise politique ».
Il souligne que « des milliers » de ses disciples étaient « lâchement assassinés, boucanés, grillés (…) leurs maisons, leurs biens, pillés, déchouqués (…) ».
Duvalier déclare aussi avoir voulu rendre un hommage aux victimes du séisme dévastateur du 12 janvier 2010 et témoigner de sa « solidarité » en cette période difficile.
Agé aujourd’hui de 59 ans, l’ancien dictateur a régné sur Haïti de 1971 à 1986, succédant à son père Francois Duvalier qui est arrivé au pouvoir en 1957.
Les Duvalier ont établi un régime de fer en Haïti et sont responsables de la mort de milliers d’opposants et du détournement d’importantes ressources du pays durant 29 ans.
La chute de la dynastie des Duvalier, le 7 février 1986, sous la pression de la lutte démocratique et populaire, avait été saluée par la population, à travers des manifestations monstres dans tout le pays et avait été considérée comme un tournant.
Le retour de Jean-Claude Duvalier intervient dans un contexte de crise politique, suite au premier tour des élections présidentielles et législatives contestées du 28 novembre 2010. La communauté internationale accentue la pression contre les autorités en place afin d’écarter de la course le candidat du pouvoir, Jude Célestin, qui serait arrivé frauduleusement en deuxième position.