Il s'agit des prochaines élections législatives: Premier tour 28 février, 2 ème tour 3 mars. Inscriptions du 16 au 20 Novembre 2009 Le CEP dit attendre l'oiginal du mandat Port-au-Prince, le 19 novembre 2009 – (AHP) – L'organisation politique Fanmi Lavalas s'est fait inscrire ce jeudi au Conseil électoral provisoire (CEP) pour les législatives du 28 février 2010 suite à un mandat reçu par Docteur Maryse Narcisse du représentant national du parti, l’ex-président Jean Bertrand Aristide qui vit en exil en Afrique du Sud depuis son départ forcé du pouvoir le 29 février 2004.
Selon un responsable du CEP, l'organisme électoral a reçu les pièces soumises par Docteur Narcisse en attendant de recevoir l'original du mandat délivré par l'ancien président Aristide.
Dans une lettre adressée au président du CEP, Gaillot Dorsainvil, pour lui faire part de sa décision et dont des milliers de copies sont en circulation, M. Aristide le remercie pour sa lettre du 9 novembre. "Je me serais fait un plaisir de participer à la réunion du 9 novembre (à laquelle étaient conviés les responsables de partis politiques). Mais le délai était trop court, et le laisser-passer du gouvernement haïtien n'est pas encore arrivé en Afrique du Sud, donc, je serai là à une prochaine occasion", a assuré l'ancien président.
En attendant, a-t-il dit, il mandate Docteur Maryse Narcisse pour représenter Fanmi Lavalas devant le Conseil électoral provisoire.
« Elle a le pouvoir de parler au CEP au nom de Fanmi Lavalas, en attendant que je revienne », dit Jean Bertrand Aristide, faisant savoir au président du CEP qu'il peut toujours lui écrire comme il l'a fait le 9 novembre dernier.
Le représentant national de Fanmi Lavalas a exprimé le souhait que le nouveau conseil électoral provisoire trouve toute la liberté nécessaire pour organiser des élections libres, honnêtes et démocratiques.
L'organisation politique Fanmi Lavalas avait été exclu des sénatoriales partielles d'avril et juin 2009 par le CEP présidé alors par Frantz Gérard Verret au prétexte que deux secteurs lavalas avaient présenté des candidats.
Le candidat à la présidence René Préval avait été l'objet des mêmes pressions et tracasseries en 2006 sous le régime intérimaire de Gérard Latortue, mais le CEP présidé alors par M. Max Mathurin avait dû finalement accepter sa candidature, face à l'ampleur et l'évidence de la magouille qui se tramait contre le candidat de la plateforme l'Espoir.
Il s’agit de deux Haïtiens qui avaient été accusés de fomenter un plan pour faire sauter le building SEARS de Chicago. Les Haïtiens avaient été arrêtés et des explosifs découverts dans leur lieu de réunion. C’est un tribunal de Floride qui a prononcé la condamnation. Les noms de ces deux ressortissants haïtiens sont : Patrick Abraham et Stanley Phanor. Les verdicts n’ont pas encore été prononcés contre les autres membres du groupe, égalemt d’origine haïtienne. Le procès avait été entamé ily a plusieurs mois. La presse américaine a attiré l’attention sur la peine retenue contre les deux Haïtiens. Très peu mentionne t-elle, alors que le procureur avait réclamé 50 ans de prison .
Cela s’est passé sur le morne Préval, aux environs de Petit Goâve. Le chauffeur du camion de transport a été battu et laissé dans un piteux état sur les bas côtés de la route. Les bandits, quatre au total se sont alors emparés du camion avec son chargement de riz et ont pris la direction de Port-au-Prince,
Mais en cours de route, le camion a pu être intercepté par la police . Les bandits se trouvent maintenant aux mains de la police. Ils ont été transportés au commissariat de Petit Goâve.
D’après les premiers renseignements recueillis sur place, les bandits seraient venus de loin et ne seraient en aucun cas des gens de Petit Goâve. Ce n’est pas nouveau que ce genre d’incident se produise dans la zone. La population n’arrête pas de réclamer l’installation d’un avant-poste dans cette zone dénommée deuxième plaine Ti goâve. Cela permettrait de contrôler les activités des bandits et contribuerait à rassurer les passagers qui dès qu’ils arrivent dans cette deuxième plaine de Petit Goâve ne savent plus à quel saint se vouer.
L’espwa serait définitivement mort. Place à l’UNITE, telle est le bruit qui circulait lundi pendant toute la journée dans la capitale haïtienne. Les abords du CEP cependant étaient restés plutôt calme et on attendait que vienne s’inscrire ce nouveau parti qui aurait pour nom UNITE. En feraient partie des journalistes, des parlementaires en fin de mandat, des ex-ministres. Ils auraient appartenu à diverses tendances et auraient répondu OUI à la sollicitation du président de la république de venir constituer ce parti formé toute en dernière minute et qui aurait reçu le nom de l’UNITE.
Des adversaires, réputés hier encore farouches, du chef de l’État se laissent aujourd’hui entraîner par le courant. Presque tous les partis et regroupements politiques sont victimes de cette fuite en avant. Le pasteur Chavannes Jeune, a avoué que plusieurs élus de l’Union, dont cinq députés et un sénateur proches de l’UNCRH, ont exprimé l’intention d’abandonner son organisation. Des noms sont cités, dont ceux du sénateur et ancien questeur Fritz Carlos Lebon (Sud), et des députés Guy Gérard Georges (Torberck-Arniquet) et Laurore Édouard (Lazile). La Fusion des sociaux-démocrates haïtiens (Fusion), déjà en pleine crise de leadership, serait la deuxième organisation politique la plus frappée par cette vague de conversion. Bon nombre de ses élus, surtout à la Chambre basse, l’auraient abandonnée pour rejoindre la plateforme présidentielle. Le nom du président du bloc Fusion à la Chambre des députés, Maxeau Balthazar (Belle-Anse), est cité. Marie-Denise Claude, ancienne candidate au Sénat de l’Ouest pour la Fusion, aurait déjà reçu la bénédiction du nouveau Parti. L’Organisation fanmi lavalas (OFL), dont l’inscription pour les prochaines élections est acceptée sous réserve au Conseil électoral provisoire (CEP), aurait perdu son candidat pour le Sénat dans le Nord. Nahoum Marcellus se serait mis dans le courant UNITE. Un autre parti qui a perdu des plumes est le Konbite pou Bati Ayiti ( Konba). Au cours de la semaine écoulée, un remaniement a été effectué au sein du directoire de Konba, après la révocation du secrétaire général Carlo Clément. Il aurait été reproché à ce dernier d’avoir conclu, de son propre chef, un accord avec le chef de l’État en vue de l’intégration du parti au sein de la plateforme présidentielle. Le sénateur William Jeanty (Nippes) est le nouveau secrétaire général de Konba.
Le 18 Novembre dernier le Président de la répubique qui, le matin, avait assisté aux cérémonies commemoratives de l’anniversaire de la bataille de Vertières partait pour Miami pour un contrôle médical . C’est ce qu’annonçait une note du secrétariat de la présidence signée de Mr Fritz Longchamps. Depuis on était resté sans nouvelle du chef de l’état quand, le dimanche 22 Novembre, jour fixé par son retour, une rumeur de plus en plus persistante se mit à courir sur internet, dans les foyers, et que les téléphones se sont mis à sonner à vous donner le tournis et chacun avait la mème question à la bouche: as-tu des nouvelles du président? On dit qu’il serait mort.
Oui. Rien que ça. Qui a inventé cette rumeur? Quelle en est l’origine? Et surtout pourquoi? Et il a fallut la fin de l’après-midi de ce dimanche 22 Novembre pour voir le président sur la piste de l’aéroport à sa descente d'avion. Il faut dire aussi que ce 22 Novembre, un autre président avait été victime d’un attentat qui lui avait coûté la vie et que la face du monde en avait été changée. Il s’agit de John Fitzgérald Kennedy, assassiné à Dallas un 22 Novembre 1963.