Cette note a ete publiee sur la page facebbok de Andre Michel par lui meme.
La Marche de la Dignité Nationale --------------- Suite aux Propos racistes tenus par le Président américain D Trump à l'endroit du Peuple Haïtien, de l'Afrique et des noirs en général , l'opposition Démocratique et Populaire a décidé de donner à la Manifestation lancée pour le Lundi 22 Janvier 2018 un contenu patriotique et citoyen avec une portée internationale. En ce sens, la manifestation du Lundi 22 Janvier 2018 sera Patriotique, PACIFIQUE, Citoyenne et non-partisane. Ce sera la Marche de la Dignité Nationale. Nous invitons donc tous les secteurs de la vie Nationale,sans distinction aucune, à venir marcher avec nous le Lundi 22 Janvier 2018 pour dénoncer et rejeter les propos racistes de D Trump et pour rappeler à ce président inculte que nous sommes un peuple leader qui a conquis son indépendance au tout début du 19 ème Siècle (1804) en battant les troupes de NAPOLÉON. Nous marcherons pour dire à D Trump que sa déclaration n'affecte que sa Personne et le crachat qu'il a lancé est retombé sur son propre visage . Nous marcherons pour apprendre à Monsieur D Trump que nous sommes ce peuple qui a donné à la Liberté sa vraie dimension, sa dimension universelle. La Marche de la Dignité Nationale partira des lieux de Rassemblement traditionnels de l'opposition ( Bel'air , St Jean Bosco, Place Dessalines , Carrefour Péant , Pétion Ville, Carrefour Aéroport ) pour prendre FIN devant l'ambassade Américaine à Tabarre. Pour Authentification : Schiler Louidor, Marjorie Michel, Fradin Jeudy, Maitre André Michel.
Désormais une nouvelle équipe prend les commandes du sénat de la répubique à l’issue des élections organisées mardi dernier. Dans cette nouvelle équipe, seulement le deuxième secrétaire a été reconduit.
Et on note aussi qu’aucun élu de l’opposition ne fait partie de l’équipe.
Le Parti Haïtien Tèt Kale a raflé tous les postes.
Joseph Lambert occupe la présidence du Sénat
Joseph François Sildor devient vice-président
Dieupy Chérubin devient premier secrétaire . Il l’a emporté sur Dieudonne Lumas Etienne.
Wiliot Joseph a été reconduit au poste de questeur,
Joseph Lambert , dans un discours de 14 minutes a promis de faire du senat une instiitution productive.
par Rezo Nodwes
Lundi 15 janvier 2018 ((rezonodwes.com))-- Dans le but d`exiger des excuses pour les propos insultants de Donald Trump à l`endroit de leur pays d`origine, plusieurs centaines de ressortissants haïtiens se sont rassemblés, lundi (15 janvier), le long de la route que doit emprunter le président américain, qui a passé le week-end dans son ranch à Mar-a-Lago, dans le comté de Palm Beach.
"Ce qui nous amène aujourd'hui, c'est la déclaration qu'il a faite", a déclaré Charlemagne Metayer, un citoyen américain d'origine haïtienne qui vit aux Etats-Unis depuis 1985. Père de quatre enfants, et également membre du Lake Park Planning Board, Métayer a pris un jour de congé à son travail aujourd'hui pour participer à la manifestation.
"Certains d'entre nous font deux ou trois emplois pour gagner leur vie, a déclaré Metayer. "Nous sommes des gens qui travaillent dur. Nous méritons des excuses du président ", a-t-il confié au journal Palm Beach Post.
Les manifestants, pacifiquement, ont traversé le pont de Mar-a-Lago pour se positionner à l'angle sud-ouest de Southern Boulevard et de Flagler Drive, directement en face du coin où les fans du président Trump stationnent habituellement pour encourager le cortège présidentiel.
Reuters•15 janvier 2018
ABUJA (Reuters) - Le gouvernement nigérian a convoqué lundi un représentant de l'ambassadeur des Etats-Unis afin qu'il s'explique sur les propos du président Donald Trump d'après lequel les immigrants d'Afrique et de Haïti viennent de "pays de merde", a déclaré le ministère nigérian des Affaires étrangères.
Le ministre des Affaires étrangères, Geoffrey Onyeama, "a demandé des éclaircissements sur la véracité ou sinon sur la substance des propos, soulignant que s'ils étaient authentiques, ils étaient profondément blessants, offensants et inacceptables", a fait savoir son ministère.
Donald Trump aurait tenu ces propos lors d'une rencontre en privé avec des élus du Congrès, sur l'immigration, jeudi dernier. Le sénateur démocrate Dick Durbin, qui a pris part à la réunion, a déclaré que le président avait eu recours à des termes "vulgaires", répétant plusieurs fois que les pays africains étaient des "pays de merde".
Lundi, Donald Trump a assuré que le sénateur Durbin avait "entièrement dénaturé" ce qui s'était dit lors de la réunion sur l'immigration de jeudi dernier à la Maison blanche, et qu'il nuisait en ce faisant aux efforts en cours pour obtenir un accord censé protéger les jeunes immigrants surnommés les "Dreamers".
"Le sénateur Dicky Durbin a entièrement dénaturé ce qui s'est dit lors de la réunion", a dit Trump sur Twitter.
Actualités
Washington (AFP) - Le président américain Donald Trump a dû, une nouvelle fois, se défendre d'être raciste après des propos injurieux envers plusieurs pays, au moment où les Etats-Unis célèbrent lundi le héros des droits civiques Martin Luther King.
La polémique a envenimé le débat autour du statut de centaines de milliers d'immigrés aux Etats-Unis, sur lequel un accord bipartisan au Congrès semble de plus en plus improbable, à un mois et demi d'une échéance cruciale.
"Je ne suis pas raciste. Je suis la personne la moins raciste que vous ayez jamais interviewée", a déclaré dimanche soir à des journalistes le président depuis son club de golf de West Palm Beach, en Floride, où il dînait avec le chef de la majorité de la Chambre des représentants Kevin McCarthy.
Ces déclarations faisaient écho à la polémique sur des propos qu'il aurait tenus jeudi lors d'une réunion avec des parlementaires. "Pourquoi est-ce que toutes ces personnes issues de pays de merde viennent ici?", aurait-il demandé, en référence à des pays d'Afrique, à Haïti et au Salvador.
Le milliardaire a contesté dès vendredi avoir utilisé cette expression, mais a été contredit par des élus de la majorité républicaine et de l'opposition démocrate.
Depuis son entrée en politique en juin 2015, il a plusieurs fois été taxé de racisme.
En campagne, il a accusé le Mexique "d'envoyer" aux Etats-Unis des criminels, en particulier des "violeurs". Il s'en est également pris plusieurs fois aux musulmans, encore récemment en retweetant des vidéos anti-musulmans à l'origine douteuse.
En août, il n'a pas condamné clairement des manifestants néo-nazis dont le rassemblement s'était terminé par la mort d'une femme, percutée intentionnellement par le véhicule d'un suprémaciste blanc.
- 'Dreamers' en péril -
Lundi, beaucoup ont puisé dans les mots du pasteur Martin Luther King Jr, honoré par un jour férié aux Etats-Unis, des messages à destination du président.
L'ancien candidat républicain à la présidence des Etats-Unis Mitt Romney a aussi évoqué la mémoire du pasteur King, tout en expliquant que "le sentiment attribué au président des Etats-Unis n'est pas cohérent avec l'histoire américaine et constitue l'antithèse des valeurs américaines".
"La pauvreté du pays d'origine d'un candidat à l'immigration est aussi peu pertinente que son origine ethnique", a tweeté celui qui pourrait bientôt briguer un siège au Sénat.
Lundi toujours, le basketteur vedette LeBron James a estimé que Donald Trump avait "donné aux gens" racistes "l'opportunité de se dévoiler et de parler sans crainte".
Tandis que des milliers d'événements se sont déroulés dans tout le pays pour rendre hommage au héros de la lutte pour les droits civiques, tué par balle le 4 avril 1968, beaucoup fustigeaient l'absence de Donald Trump à ces célébrations.
Dans un message vidéo enregistré et publié lundi, il a évoqué Martin Luther King et appelé à "perpétuer son message de justice, d'égalité et de liberté".
"Donald Trump est une brute raciste et nous savons comment traiter les brutes", a déclaré la sénatrice démocrate Elizabeth Warren lors d'un rassemblement dédié à Martin Luther King, selon le Boston Globe. "Nous répliquons".
Plusieurs parlementaires démocrates ont déjà annoncé qu'ils n'assisteraient pas au discours sur l'Etat de l'Union de Donald Trump devant le Congrès, le 30 janvier, notamment John Lewis, qui fut des grandes luttes pour les droits civiques durant les années 1960.
Le climat politique semble chaque jour plus tendu entre le l'occupant de la Maison Blanche et l'opposition démocrate, dont le président a encore mis en doute lundi le désir de parvenir à un accord sur le programme Daca, mis en place par Barack Obama pour permettre aux immigrés clandestins arrivés enfants aux Etats-Unis de pouvoir y étudier et y travailler.
M. Trump a proposé un pacte qui offrirait une issue aux "Dreamers", les bénéficiaires du programme Daca qu'il a abrogé, en échange du financement de mesures de renforcement du contrôle à la frontière mexicaine, notamment l'érection d'un mur.
"Nous sommes prêts, désireux et capables d'obtenir un accord sur Daca", a-t-il dit dans la matinée, alors que le sort de près de 700.000 personnes est en jeu. Mais "je ne pense pas que les démocrates veuillent le conclure".
Dans l'après-midi il s'en est pris nommément au sénateur démocrate Dick Durbin, présent jeudi à la réunion et qui a affirmé que M. Trump avait répété "plusieurs fois" son expression grossière.
"Le sénateur Dicky Durbin a totalement déformé ce qui a été dit à la réunion Daca. On ne peut pas conclure d'accord quand il n'y a pas de confiance! Durbin a détruit Daca et nuit à notre armée", a-t-il tweeté.
La semaine dernière, un juge fédéral de Californie a suspendu l'abrogation de Daca, qui devait intervenir début mars, échéance fixée par le président aux parlementaires pour trouver un compromis sur ce dossier.