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L’Observatoire Citoyen se dit très préoccupé.
A la veille de l’ouverture de la campagne électorale des élections législatives ( sénatoriales et députation) , l’Observatoire citoyen pour l’institutionnalisation de la Démocratie (OCID) un consortium de la Société Civile composé de l’initiative de la Société Civile, du Centre oecuménique des Droits Humains et de JURIMEDIA s’est dit très préoccupé par les discours violents et les actes d’intimidation de plusieurs candidats ou de leurs partisans à l’égard des membres du Conseil Electoral Provisoire.
Aussi l’OCID recommande aux autorités compétentes de diligenter des enquêtes sérieuses tant sur les dénonciations de certains Conseillers électoraux, relatives à des menaces dont ils seraient l’objet que sur les allégations de corruption portées par des candidats non agréés contre des membres du CEP
A l’ouverture de la campagne électorale pour les législatives, l’OCID appelle tous les candidats et candidates à tenir des discours constructifs pour présenter leur programme à l’électoral au lieu de réduire leur message à des slogans manipulateurs, creux et violents. Livie aussi les citoyens et citoyennes à évaluer la compétence et le savoir-faire des prétendants parlementaires, en les questionnant sur les grands dossiers nationaux, tels que le renforcement des institutions démocratiques, l’insécurité,
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Environ cent élèves et trente enseignants de Carrefour Feuilles (Ouest) et Lascahosbas (Centre) ont été formés, de mars à juillet 2015, sur des thématiques liées aux droits de l’enfant et la violence, apprend AlterPresse.
Ces formations ont eu lieu dans le cadre du projet Konprann Mwen, ankadre m pou m Aprannn pi byen (Kapab), mis en œuvre par l’organisation de développement « Engagement, participation, kapasite » (Enpak), en partenariat avec l’Institut du bien-être social et de recherches (Ibesr).
Le projet a également permis de faire de la mobilisation communautaire, notamment de la sensibilisation à l’intention des parents.
Clôturé le week-end dernier à Lascahobas, le projet Kapab s’est déroulé sur quatre mois, avec le soutien de l’agence américaine pour le développement (Usaid).
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Décidément le beau frère du Président Michel Martelly et frère de la première dame Sofia St Rémy Martelly a la main légère.
Il s’est attaqué cette fois au Ministre de l’agriculture, le très tranquille Agronome Fresner Dorcin .
La nouvelle a d’abord circulé sur les ondes de la radio Vision 2000, colportée par le journaliste Valery Numa. Nous avons hésité à la relayer, pensant que c’était la un “ zin” de plus. Mais vu la persistence de la nouvelle qui a d’ailleurs été confirmée par des personnalités crédibles, comme Pierre Espérance du RNDDH, nous ne pouvons pas la tenir secrète. .
Le titulaire du ministère de l’Agriculture des Ressources Naturells et du Développement rural / MARNDR, Fresner Dorcin aurait refusé de livrer les credits budgetaires disonibles dans le portefeuille de son ministère à Kiko St Rémy.
Il aurait insisté sur la nécessité de mettre le président de la république au courant avant de donner les credits budgetaires disponibles à l’homme qui symbolize la corruption à l’état pur , selon Pierre Espérance du RNDDH.A bout de patience, le tout puissant beau-frère du chef de l’état décida de corriger l’officiel haïtien à coups de poing et de gifles. Cela se passait dans le salon de la soeur de la première dame, mariée à Gesner Champagne.
La femme du ministre Dorcin lui aurait demandé de donner sa demission sans plus tarder.
On attend donc la suite de l’affaire.
Tout ceci se passe, alors que le Présdient de la république, de même d’ailleurs que son premier ministre sont hors du pays.
Taux moyen d'achat ( taux de référence) : 54.2545 Taux moyen de vente des banques (TMA) : 55.5902
L'Union est notre force.
Notre désunion est celle des ennemis de notre patrie.
Hommage à cette unité récemment retrouvée au sein de nos dirigeants face à la menace de voisins racistes, anti-haïtiens
Ainsi donc, face au comportement pervers des autorités dominicaines procédant à des déportations violentes et illégales, face au terrorisme de certains groupes en république voisine créant une vraie psychose de peur qui engendre cet exode vers Haïti et finalement face à ce processus scandaleux d’apatridie de milliers de citoyens dominicains que la république dominicaine compte déverser sur notre territoire, l’heure est à notre rassemblement autour de notre drapeau national.
C’est dans ce contexte que le COLLECTIF du 4 DECEMBRE invite les compatriotes haïtiens qui avaient investi en république dominicaine, à ramener leurs entreprises en Haïti, pour créer ainsi des emplois nécessaires, stables et durables.
LE COLLECTIF lance aussi un vibrant appel à l’UNITE NATIONALE et demande à toutes les associations de la Société civile, aux politiciens, partis politiques, associations professionnelles, Chambres de Commerce et à tous les citoyens et citoyennes qui aiment encore Haïti, de former un faisceau contre la HAINE et le RACISME d’hier et d’aujourd’hui et, conjointement avec la COMMUNAUTE INTERNATIONALE, d’empêcher l’exécution du macabre plan dominicain.
LE COLLECTIF du 4 DECEMBRE, qui a toujours mis l’emphase sur la PRODUCTION NATIONALE et réclamé le BOYCOTT des produits dominicains, renouvelle une fois de plus cette double demande et propose à la NATION ENTIERE d’accepter à court, moyen et long terme les sacrifices que ce double objectif demande.
Pour non seulement faire face à cet acharnement de la République dominicaine contre les ressortissants haïtiens et leurs descendants, mais encore pour endiguer l’exode déstabilisateur provoqué par cette république voisine, LE COLLECTIF DU 4 DECEMBRE suggère encore aux autorités de notre pays d’utiliser les structures douanières existantes aux postes frontaliers pour bien gérer le flot de ces victimes du racisme dominicain.
Par voie de conséquence, l’importation des produits à partir de la République dominicaine aurait à se faire que par voie aérienne ou maritime vers les ports de Port au Prince, ce, tout autant que durera la crise créée par la république voisine.
Le COLLECTIF du 4 DECEMBRE exhorte toute la NATION à ne pas se taire malgré l’adversité mais à continuer de se battre pour les idéaux de liberté et de dignité humaine et à faire avancer notre société dans le progrès, l’humanité et la solidarité.
Jean-Robert Argant
Coordonnateur Général
8 Juillet 2015