Telle est la décision finale prise dans le communiqué de l’l’UNASUR, à la suite de la rencontre qui a réuni les chefs d’état de 6 pays membres de L’Union des nations sud -américaines (UNASUR) qui s’est tenue les lundi 8 et mardi 9 Février à Quito, capitale de l’Equateur. Appelant à l’annulation totale de la dette externe d’Haïti, les pays d’Amérique du Sud ont également adopté une résolution portant sur une "coopération permanente avec Port-au-Prince" après avoir suivi attentivement l’exposé du Président René Préval consacré aux besoins et priorités du post-désastre, rapportent plusieurs agences de presse. Lors d’une conférence de presse finale, le chef de l’Etat équatorien, Rafael Correa, hôte du sommet et actuel président de l’UNASUR, a annoncé que les dirigeants de la région se réuniront à nouveau sur le cas d’Haïti le 20 février à Cancùn (Mexique). Des mesures concrètes relatives à la création du fonds entreront alors en vigueur. Des 300 millions de dollars prévus, 100 millions viendront directement de l’UNASUR et le reste du montant (200 millions) d’un crédit sollicité auprès de la Banque interaméricaine de développement (BID). Outre MM. Préval et Correa, ( Equateur)trois autres Présidents Álvaro Uribe (Colombie), Alan García () et Fernando Lugo (Paraguay) ainsi que le Secrétaire général de l’OEA, José Miguel Insulza ont pris part à cette rencontre, la première de cette importance organisée en Amérique du Sud depuis le tremblement de terre qui a anéanti en grande partie l’économie, les infrastructures et les ressources humaines qualifiées d’Haïti. René Préval devait regagner Port-au-Prince mardi soir, selon la Présidence haïtienne.
Tel est le bilan communiqué ce mercredi par la direction de la Protection Civile. Les 200.000 tentes demandées par le Président René Préval ont été commandés et elles vont coûter 50 millions de dollars. La grande question est celle-ci : est-ce que il faut investir 50 millions de dollars dans des tentes qui après tout ne sont que des abris provisoires ? est-ce qu’i ne faudrait pas plutôt investir dans du préfabriqué, plus solides et plus apte à protéger les gens contre les intempéries ?
La cérémonie s’est déroulée dans la rue devant les décombres de l’Eglise Sainte Thérèse à Pétion Ville en présence de représentants du secteur presse, secteur politique ( Madame Myrlande Manigat) du secteur Police, une initiative de l’organisation SOS Journalistes.
Un communiqué du Ministère des Travaux Publics vient interdire définitivement l’exploitation des carrières de sable de La Boule. Ce n’est pas la première fois qu’est pris ce genre de communiqué. Mais malheureusement les premiers temps passés, on voit les gros camions chargés de sable descendre l’étroite route de Laboule, vrs πort-au-Prnce. Cependant peut être quemaintenant les choses vont chaner : les géologue qui ont retracé le trajet de la faille sur la plaque tctonique Tiburon-Pétion ville ont déerminé que la faille passe au niveau de La Boule 10, Laboule 12. Ils auraient mieme conseillé aux personnes habitant la zone ( Laboule 10, Laboule 12) de penser à s’installer ailleurs. Ensuite les ingénieus ont révélé que le sable de La Boule est impropre à la fabication du béton. Alors peut être que cette fois, les choses vont marcher et que l’exploitation de ces carrières de Laboule vont cesser. Il n’est que d’attendre.
Il s’agit de protéger la poulation conre des épidémies de typhoïde, de malaria, de diphtérie et de tétaos. Les vaccins sont administrés dans les divers camps de la capitale